- Communs des littoraux et des mers (dans la mer ou en bord de mer, que ce soit dans un marais, des dunes, des falaises, des forêts rétro-littorales…)
- Terres et mers d'Europe
Développée depuis près de deux mille ans sur un relief de dunes anciennes, protégée des vents dominants par la dune du Pilat, elle se caractérise par un écosystème forestier très original constitué par une pineraie-chênaie irrégulière qui a fait l’objet d’une gestion jardinée séculaire en lien avec une valorisation des pins maritimes par le gemmage.
- Propriété privée
- Commun représenté par un établissement public
- Conservation des forêts (stockage de carbone, prévention des incendies, qualité de l'air…)
- Biodiversité (conservation, maintien, création par les pratiques et les usages…)
- Conservation des eaux (potables, perméabilité des sols, recharge des nappes, ralentissement des eaux pluviales, lutte contre l'érosion et les inondations…)
- Défense du littoral et de la mer (trait de côte, atténuation des submersions, des houles, de la salinisation des sols, biodiversité marine…)
- Cadre de vie (fabrique de beaux paysages, patrimoines et cadres de vie de qualité, accueil, tourisme soutenable, récréation, ressourcement et activités économiques liées…)
- Cohésion sociale (maintien de communautés rurales, citoyenneté, démocratie locale, transmission de la connaissance des lieux, des milieux, des risques…)
- Menacé (risque d'enclosure, d'aliénation, de destruction)
- Détruit ou disparu (privatisé, enclos, aliéné, détourné…)
- Sources, nappes d'eaux souterraines, phréatiques, alluviales
- Forêts, boisements, bosquets
- Energie du bois et végétaux (affouage, bois de chauffe, biomasse, petite méthanisation…)
- Matériaux (bois d’oeuvre, pour la construction, bois, paille, terre, torchis, pierre, galets…)
1/ Section de La Garde Guérin, 2/ Section des pauvres de La Garde Guérin, (3) Section de La Garde Guérin et du Mont, (4) Section de La Garde Guérin et de La Viale
1/ Section de La Garde Guérin, 2/ Section des pauvres de La Garde Guérin, (3) Section de La Garde Guérin et du Mont, (4) Section de La Garde Guérin et de La Viale
- Communs de montagnes et de piémonts (montagnes et reliefs au pied des montagnes…)
- Terres et mers d'Europe
Ressources nouvelles: (6) Énergies renouvelable (bois, éolien, photovoltaîque (1500 kWh annuels par mètre carré) ; (7) valorisation de nos droits d’eau: élevage de truite, Station de Transfert d’Énergie par Pompage; régulation thermique à but touristique, (8) valorisation du site par sports de pleine nature : canyoning, escalade
- Conservation des forêts (stockage de carbone, prévention des incendies, qualité de l'air…)
- Sources d'énergies renouvelables (biomasse, petite hydro-électricité, moulins…)
- Biodiversité (conservation, maintien, création par les pratiques et les usages…)
- Conservation des eaux (potables, perméabilité des sols, recharge des nappes, ralentissement des eaux pluviales, lutte contre l'érosion et les inondations…)
- Autonomie alimentaire (relocalisation de productions, préservation de semences, de végétaux, d'animaux rustiques résistants…)
- Cadre de vie (fabrique de beaux paysages, patrimoines et cadres de vie de qualité, accueil, tourisme soutenable, récréation, ressourcement et activités économiques liées…)
- Économie (création et maintien d'activités économiques et d'emplois non-délocalisables…)
- Potentiel (en attente d'une communauté active d'usagers)
- Menacé (risque d'enclosure, d'aliénation, de destruction)
- Détruit ou disparu (privatisé, enclos, aliéné, détourné…)
AFC Association Française des professionnels de la cueillette de plantes sauvages
AFC Association Française des professionnels de la cueillette de plantes sauvages
- Autre type de commun naturel
• Connaissance des pratiques de cueillettes par collectage auprès des anciens
• Connaissance des noms et propriétés des plantes par collectage auprès des anciens
• Liste des plantes libérées du monopole pharmaceutique (148 plantes médicinales + une centaine en cours d’examen. Pour les autres pays d’Europe les listes comprennent de 1000 à 1500 plantes)
Matérielles :
• Lieux de cueillettes en milieux naturels ou sauvages (secrets)
Des menaces sur les ressources :
- demande croissante en produits dits « naturels », « bio » ou « équitables », pression de cueillette "intensive, industrielle" sur certains sites, par des cueilleurs salariés de grands groupes qui ne font pas partie de l'AFC et ne suivent pas de règles éthiques de cueillette
- Evolution des réglementations de protection de la biodiversité dans les pays dits "des suds" qui amènent ces grands groupes à se tourner davantage vers les pays européens, augmentant la pression
- changement climatique, sécheresses notamment
- préservation des milieux naturels, protection contre les pillages de cueillettes intensives
- entretien des milieux par la cueillette, notamment, protection contre les incendies, "jardinage" accompagnement de la pousse et de la biodiversité de forêts en croissance sur les lieux de cueillette
- préservation de milieux ouverts et de mosaïques de milieux, multiplication d'écotones, ceci étant très favorable à la biodiversité
- adaptation des cueillettes au évolutions des milieux liées au changement climatique, aux sécheresses notamment
Aignoz
Aignoz
Alex
Alex
Alise Meuris
Alise Meuris
Horticultrice, paysagiste, enseignante en paysage, mes sujets de prédilection sont de beaux paysages ruraux "patrimoines", sur les frontières de la France (Pyrénées, façade atlantique européenne ouest, franco-belge, Antilles...). Ainsi, j'ai souvent travaillé avec des paysans, ces humains qui ont choisi de vivre en relation intime avec la nature et fabriquent ces beaux paysage. J'ai aussi côtoyé beaucoup de jardins familiaux, ouvriers, pédagogiques, créoles, en France tempérée, aux Antilles, en Hongrie. J'habite actuellement en Martinique où j'ai rejoint la coopérative EDEA en tant que coopératrice.
Allement
Allement
Allemogne
Allemogne
Apregnin
Apregnin
Ardosset
Ardosset
Arfontaine
Arfontaine
Arnans
Arnans
Arthurieux
Arthurieux
- Section de communes
Arthurieux
Arthurieux
Association syndicale libre du canal d’arrosage de Corps
Association syndicale libre du canal d’arrosage de Corps
- Communs des eaux douces (dans et autour des fleuves, rivières, lacs, mares, marécages, zones humides…)
- Terres et mers d'Europe
- Ruines d’un moulin, d’une ancienne cabane, d’un tonneau ou d’une balancelle
- Formel, doté d'un statut juridique
- Association syndicale
- Privé (personne physique / association / fondation / entreprise…)
- Réglementé (bail, convention, traité, us & coutumes…)
- Sources d'énergies renouvelables (biomasse, petite hydro-électricité, moulins…)
- Biodiversité (conservation, maintien, création par les pratiques et les usages…)
- Conservation des eaux (potables, perméabilité des sols, recharge des nappes, ralentissement des eaux pluviales, lutte contre l'érosion et les inondations…)
- Cadre de vie (fabrique de beaux paysages, patrimoines et cadres de vie de qualité, accueil, tourisme soutenable, récréation, ressourcement et activités économiques liées…)
- Cohésion sociale (maintien de communautés rurales, citoyenneté, démocratie locale, transmission de la connaissance des lieux, des milieux, des risques…)
- Vivant (communauté active d'usagers)
Au Cruix
Au Cruix
- Section de communes
Au Cruix
Au Cruix
Avignon
Avignon
- Section de communes
Avignon
Avignon
Avrissieu, Samillieu Et Barbillieu
Avrissieu, Samillieu Et Barbillieu
- Section de communes
Avrissieu, Samillieu Et Barbillieu
Avrissieu, Samillieu Et Barbillieu
Banchin
Banchin
- Section de communes
Banchin
Banchin
Béal de Vallouise
Béal de Vallouise
- Communs de montagnes et de piémonts (montagnes et reliefs au pied des montagnes…)
- Terres et mers d'Europe
- Commun administré par un établissement public
- Conservation des eaux (potables, perméabilité des sols, recharge des nappes, ralentissement des eaux pluviales, lutte contre l'érosion et les inondations…)
- Vivant (communauté active d'usagers)
- Réseaux d'irrigation, de drainage, de canaux, de fossés
Béal de Vallouise
Belmont
Belmont
- Section de communes
Belmont
Belmont
Bernard Brunet
Bernard Brunet
Semi-retraité depuis dix ans après avoir été successivement étudiant en philosophie, travailleur social, bûcheron et consultant en développement local, je reste très investi dans le monde coopératif (co-gérance de la SCIC Sapie que j'ai créée il y a plus de trois décennies, sociétaire et contributeur des SCIC Enercoop, Railcoop, Telecoop, Windcoop, Les Imaginations Fertiles…) et consacre l'essentiel de mon temps à faire connaître, contribuer et défendre les communs (Remix The Commons, Assemblée des communs, ce projet de cartographie, un projet de MOOC en gestation, Collectif PointCom1, LSC, une conférence gesticulée sur les communs et son site de support…).
Formé aux méthodes d'animation collaborative grâce à Animacoop (dont j'ai été formateur par la suite), je propose d'en diffuser les outils associés tels que ce génial YesWiki et les Méta-Cartes de Mélanie et Lilian…
Biens de section du Fayet, Cantal
Biens de section du Fayet, Cantal
- Communs de montagnes et de piémonts (montagnes et reliefs au pied des montagnes…)
- Terres et mers d'Europe
- Biodiversité (conservation, maintien, création par les pratiques et les usages…)
- Conservation des eaux (potables, perméabilité des sols, recharge des nappes, ralentissement des eaux pluviales, lutte contre l'érosion et les inondations…)
- Autonomie alimentaire (relocalisation de productions, préservation de semences, de végétaux, d'animaux rustiques résistants…)
- Économie (création et maintien d'activités économiques et d'emplois non-délocalisables…)
- Menacé (risque d'enclosure, d'aliénation, de destruction)
- Marais doux, marécages, zones humides
- Estives, alpages, pâturages d'été, parcours de transhumances
- Prairies de fauche, prairies humides, autres prairies
- Sources, nappes d'eaux souterraines, phréatiques, alluviales
- Elevage - mammifères (vaches, chèvres, moutons…)
- Ressource “sauvage” (non cultivée) (chasse, capture…)
Bioleaz
Bioleaz
- Section de communes
Bioleaz
Bioleaz
Blaizine
Blaizine
- Section de communes
Blaizine
Blaizine
Bocages de l’Orne et SCIC Bois Bocage Energie
Bocages de l’Orne et SCIC Bois Bocage Energie
- Autre type de commun naturel
- Maintien voire création des réseau de haies, biodiversité, trames vertes et bleues sur le territoire
- Stockage de carbone, transition énergétique ENR locales et durables (voir ici et ici), maintien des sols et des fils d'eau et fossés
- Création d'activités économique écologiquement soutenables et durables en territoire rural, sociabilités, culture de la transition (voir par exemple ici)
Bohas
Bohas
- Section de communes
Bohas
Bohas
Bois de La Houssière - Le Grand Bois
Bois de La Houssière - Le Grand Bois
- Forêt usagère
Boissey
Boissey
- Section de communes
Boissey
Boissey
Brognin
Brognin
- Section de communes
Brognin
Brognin
Canal des Moines
Canal des Moines
- Communs de montagnes et de piémonts (montagnes et reliefs au pied des montagnes…)
- Communs des eaux douces (dans et autour des fleuves, rivières, lacs, mares, marécages, zones humides…)
- Terres et mers d'Europe
Sa longueur est de 7kms de Champchauzat jusqu'au ruisseau du Royer. Des vestiges d'une prolongation du canal en aval existent mais ne sont pas alimentés en eau.
Il est alimenté par les sources de Champchauzat, et l'été il faut aussi une prise d'eau rustique au fil de la malsanne dite "volante", c'est à dire sans ouvrage en travers du lit.
Cette prise d'eau présente régulièrement (en cas de crues) des dysfonctionnements du fait de la mobilité du lit de la Malsanne (elle se déconnecte de la rivière) et du charriage des matériaux ou embâcles (elle se trouve engravée).
Ses usages sont multiples : irrigation agricole et domestique (jardin), dilutio des eaux usées, d'agrément pour la randonnée et dispose d'un fort intérêt patrimonial architectural et historique.
Il est géré par une Association Syndicale Autorisée l'ASA de la Marsanne qui l'entretient et qui organise aussi chaque année des corvées collectives pour le nettoyer avant de le remettre en eau.
Les Valbonnetins qui y participent perpetuent ainsi une coutume ancestrale, ouverte à tous les volontaires.
- Formel, doté d'un statut juridique
- Association syndicale
- Privé (personne physique / association / fondation / entreprise…)
- Réglementé (bail, convention, traité, us & coutumes…)
- Conservation des eaux (potables, perméabilité des sols, recharge des nappes, ralentissement des eaux pluviales, lutte contre l'érosion et les inondations…)
- Vivant (communauté active d'usagers)
- Estives, alpages, pâturages d'été, parcours de transhumances
- Prairies de fauche, prairies humides, autres prairies
- Réseaux d'irrigation, de drainage, de canaux, de fossés
- Energie hydraulique (moulins, petite hydroélectricité…)
- Elevage - mammifères (vaches, chèvres, moutons…)
Canaux d'irrigation du Briançonnais
Canaux d'irrigation du Briançonnais
Les traces de ce lointain passé sont encore visibles. Ainsi, à l'entrée de la Vieille Ville de Briançon, on peut voir l'arrivée du canal Gaillard (photo 1) qui alimentait les gargouilles (photo 2) en vue de lutter contre les incendies.
Depuis cette époque, ces canaux sont gérés par des associations, appelées autrefois "pareries" et aujourd'hui Associations Syndicales Autorisées (ou ASA). Grâce à elles, ils ont survécu aux extraordinaires mutations que le pays a connues.
La réglementation des ASA est complexe car il s'agit d'organismes publics réunissant des personnes privées. Dans le périmètre irrigable situé en aval du canal porteur (photo 3) l'adhésion à l'ASA est obligatoire.
Voir également https://asadelubac.fr/
- Communs de montagnes et de piémonts (montagnes et reliefs au pied des montagnes…)
- Communs des eaux douces (dans et autour des fleuves, rivières, lacs, mares, marécages, zones humides…)
- Terres et mers d'Europe
Les canaux à irrigation gravitaire assurent des fonctions d’intérêt général touchant à l’environnement, au maintien de l’agriculture, au maintien des zones humides, à l’écologie et à l’économie. Ces fonctions sont dépendantes du travail des Associations Syndicales.
Le maillage des canaux assure, par l’irrigation des parcelles, l’alimentation en eau des nappes phréatiques et des sources. Une étude réalisée met en évidence que seulement 15% de l’eau prélevée par les canaux est consommée par les cultures. Le stockage d’une partie de l’eau des canaux dans les nappes phréatiques ne nécessite aucun investissement et l’eau ainsi stockée est épurée naturellement. La grande majorité de l’eau prelevée à la rivière y revient de façon directe ou s’infiltre pour alimenter les réserves souterraines.
Les canaux drainent les versants car ils sont disposés perpendiculairement à la pente. Ce drainage est particulièrement intéressant dans les secteurs occupés par des roches meubles (moraines, terrains houillers…). Ces terrains meubles sont générateurs de nombreux glissements de terrains favorisés par la présence d’eau. Le drainage des versants par les canaux d’irrigation contribue donc à la stabilisation des versants sujets à des glissements de terrains
Les canaux à irrigation gravitaire contribuent au maintien des paysages. L’augmentation des surfaces de contact avec l’atmosphère engendre une élévation de la température de l’eau transportée et une meilleure oxygénation, favorisant ainsi la croissance de la végétation.
L’irrigation gravitaire maintient le manteau herbeux, empêche les éboulements et les glissements de terrains. Il protège aussi les massifs des incendies en période de sécheresse.
- Formel, doté d'un statut juridique
- Association syndicale
- Privé (personne physique / association / fondation / entreprise…)
- Réglementé (bail, convention, traité, us & coutumes…)
- Conservation des eaux (potables, perméabilité des sols, recharge des nappes, ralentissement des eaux pluviales, lutte contre l'érosion et les inondations…)
- Cadre de vie (fabrique de beaux paysages, patrimoines et cadres de vie de qualité, accueil, tourisme soutenable, récréation, ressourcement et activités économiques liées…)
- Vivant (communauté active d'usagers)
- Sources, nappes d'eaux souterraines, phréatiques, alluviales
- Energie hydraulique (moulins, petite hydroélectricité…)
Carrouge
Carrouge
- Section de communes
Carrouge
Carrouge
Catagnolles
Catagnolles
- Section de communes
Catagnolles
Catagnolles
Caton
Caton
- Section de communes
Caton
Caton
Ceillat
Ceillat
- Section de communes
Ceillat
Ceillat
Cessieu
Cessieu
- Section de communes
Cessieu
Cessieu
CEVE Île de France
CEVE Île de France
- Autre type de commun naturel
Chamerande Et Vernettes
Chamerande Et Vernettes
- Section de communes
Chamerande Et Vernettes
Chamerande Et Vernettes
Chamonal
Chamonal
- Section de communes
Chamonal
Chamonal
Chanes
Chanes
- Section de communes
Chanes
Chanes
Chanoz
Chanoz
- Section de communes
Chanoz
Chanoz
Charbonnieres
Charbonnieres
- Section de communes
Charbonnieres
Charbonnieres
Charinaz
Charinaz
- Section de communes
Charinaz
Charinaz
Chatonod
Chatonod
- Section de communes
Chatonod
Chatonod
Chavillieu
Chavillieu
- Section de communes
Chavillieu
Chavillieu
Chavoley
Chavoley
- Section de communes
Chavoley
Chavoley
Chavuissiat-Le-Grand
Chavuissiat-Le-Grand
- Section de communes
Chavuissiat-Le-Grand
Chavuissiat-Le-Grand
Chavuissiat-Le-Petit
Chavuissiat-Le-Petit
- Section de communes
Chavuissiat-Le-Petit
Chavuissiat-Le-Petit
Chemillieu
Chemillieu
- Section de communes
Chemillieu
Chemillieu
Chenay
Chenay
- Section de communes
Chenay
Chenay
Chezery
Chezery
- Section de communes
Chezery
Chezery
Chiloup
Chiloup
- Section de communes
Chiloup
Chiloup
Chougeat
Chougeat
- Section de communes
Chougeat
Chougeat
Cizod
Cizod
- Section de communes
Cizod
Cizod
Coiselet-Et-Corcelles
Coiselet-Et-Corcelles
- Section de communes
Coiselet-Et-Corcelles
Coiselet-Et-Corcelles
Coligny-Le-Haut
Coligny-Le-Haut
- Section de communes
Coligny-Le-Haut
Coligny-Le-Haut
Coligny-Le-Nas
Coligny-Le-Nas
- Section de communes
Coligny-Le-Nas
Coligny-Le-Nas
Commission syndicale de Soule
Commission syndicale de Soule
- Commission syndicale
Commission syndicale de Soule
Commission syndicale de Soule
- Communs de montagnes et de piémonts (montagnes et reliefs au pied des montagnes…)
- Terres et mers d'Europe
perpétué que très partiellement le particularisme des anciennes vallées pyrénéennes.
Les commissions syndicales ont une gestion en biens communs et le devoir de maintenir l’usage pastorale de la montagne.
Les rôle et missions de la commission syndicale de Soule :
- • la gestion et la valorisation des territoires indivis
- • la gestion du pastoralisme et de la sylviculture
- • La préservation du patrimoine naturel de la biodiversité, riche et endémique, des paysages interdépendants de l’activité agro pastoral
- • le développement raisonné d’un tourisme respectueux des pratiques ancestrales de l’environnement montagnard.
Son territoire, composé pour moitié de pâturages et pour l'autre de forêts, est situé entre 600 et 2 017 m d'altitude.
La CSPS a une superficie de 14 132ha dont 6 375ha déclarés à la PAC. En 2018, on a recensé 232 éleveurs, 2 036 bovins, 137 équins et 25 169 ovins soit près de 6 000 UGB répartis sur 43 cayolars.
Au niveau des chalets d’Iraty, ce sont 35 chalets à la location qui sont présents sur le complexe écotouristique 4 saisons.
- Conservation des forêts (stockage de carbone, prévention des incendies, qualité de l'air…)
- Biodiversité (conservation, maintien, création par les pratiques et les usages…)
- Cadre de vie (fabrique de beaux paysages, patrimoines et cadres de vie de qualité, accueil, tourisme soutenable, récréation, ressourcement et activités économiques liées…)
- Cohésion sociale (maintien de communautés rurales, citoyenneté, démocratie locale, transmission de la connaissance des lieux, des milieux, des risques…)
- Économie (création et maintien d'activités économiques et d'emplois non-délocalisables…)
- Vivant (communauté active d'usagers)
- Estives, alpages, pâturages d'été, parcours de transhumances
- Forêts, boisements, bosquets
- Elevage - mammifères (vaches, chèvres, moutons…)
- Matériaux (bois d’oeuvre, pour la construction, bois, paille, terre, torchis, pierre, galets…)
- Ressource “sauvage” (non cultivée) (chasse, capture…)
Condamine
Condamine
- Section de communes
Condamine
Condamine
Condon
Condon
- Section de communes
Condon
Condon
Conflans
Conflans
- Section de communes
Conflans
Conflans
Confranchette
Confranchette
- Section de communes
Confranchette
Confranchette
Coraline Thual
Coraline Thual
Récemment diplômée d'un master en éco-anthropologie sur les relations Homme-Nature, je viens d'un territoire en indivision. J'aime comprendre ce qui nous relie à notre environnement et comment nos pratiques, nos attachements à un territoire peuvent conduire à des formes d'engagement pour son devenir. Je suis très intéressée par le rôle que les communs peuvent jouer pour répondre aux enjeux de demain et me tiens régulièrement en veille sur les modes de gestion collectifs des espaces naturels.
Corcelles
Corcelles
- Section de communes
Corcelles
Corcelles
Corcellete
Corcellete
- Section de communes
Corcellete
Corcellete
Corent
Corent
- Section de communes
Corent
Corent
Cormorand
Cormorand
- Section de communes
Cormorand
Cormorand
Coupy
Coupy
- Section de communes
Coupy
Coupy
Courtouphle
Courtouphle
- Section de communes
Courtouphle
Courtouphle
Crapeou
Crapeou
- Section de communes
Crapeou
Crapeou
Crozet
Crozet
- Section de communes
Crozet
Crozet
- Section de communes
Crozet
Crozet
Crozet
Crozet
Curfin
Curfin
- Section de communes
Curfin
Curfin
Cuvergnat
Cuvergnat
- Section de communes
Cuvergnat
Cuvergnat
Delcourt Pierre Yves
Delcourt Pierre Yves
Originaire du Canada, je suis détenteur d'un diplôme de niveau master en urbanisme à l'Université de Paris XII et en Administration Publique à l'Université de Lausanne. J'ai travaillé plusieurs années dans les collectivités territoriale en France et en Suisse. Je m'intéresse à l'élaboration, la mise en oeuvre et l'évaluation des politiques publiques à incidence spatiale (aménagement du territoire, mobilité, logement, environnement, etc.).
Dergis-Michaud
Dergis-Michaud
- Section de communes
Dergis-Michaud
Dergis-Michaud
Dergis-Saint-Anne
Dergis-Saint-Anne
- Section de communes
Dergis-Saint-Anne
Dergis-Saint-Anne
Dhuis
Dhuis
- Section de communes
Dhuis
Dhuis
Dingier
Dingier
- Section de communes
Dingier
Dingier
Ecorans
Ecorans
- Section de communes
Ecorans
Ecorans
Egieu
Egieu
- Section de communes
Egieu
Egieu
Eilloux
Eilloux
- Section de communes
Eilloux
Eilloux
Entretien avec Philippe Descola
Entretien avec Philippe Descola
Philippe Descola : Un même mouvement de refus de l’appropriation privative des communs, qui participe aussi d’une autre façon de s’attacher à son territoire. Dans leurs luttes contre la spoliation territoriale, les populations autochtones s’efforcent toujours de mettre en évidence que les territoires qu’elles habitent ne sont pas simplement des « gagne-pain », c’est-à-dire des lieux utilisés d’abord pour exploiter des ressources. Il y a bien d’autres raisons, au-delà de ça, pour lesquelles elles occupent le territoire.
Exemple avec les combats face aux projets de mine dans les Andes : on se bat au nom de la montagne parce que c’est un « commun », mais pas au sens où ce serait une ressource commune à tous, mais au sens où c’est un élément qui est partie prenante du territoire et qui fait partie d’un collectif plus large que celui des seuls humains. Les luttes pour la protection du territoire en Amazonie ne sont pas des revendications d’autochtonie, il ne s’agit pas de clamer l’exclusivité pour soi d’un espace : il s’agit de montrer que les relations qui s’y déploient, entre humains et non-humains, sont tout à fait singulières et qu’elles méritent d’être perpétuées. C’est donc d’abord à ce titre que le territoire suppose d’être préservé.
Et dans le fond, les gens de la ZAD disent la même chose lorsqu’ils clament « Nous ne défendons pas la nature, nous sommes la nature qui se défend » : ils agissent pour un milieu de vie qui leur a offert son hospitalité, et vis-à-vis duquel ils ressentent la responsabilité de le maintenir dans un état protégé des agressions et des menaces qui s’exercent à son encontre – là même où les arbres ou les moutons ne peuvent pas agir.
Durant mon séjour à la ZAD, j’ai été très frappé de constater que ceux qui m’accueillaient avaient développé un régime d’attention très aiguisé envers les non-humains. Cela se manifestait par un sens aigu de l’observation de toutes les particularités du milieu – la végétation dont il est composé, l’abri qu’elle propose à telle ou telle espèce animale, les échanges qui s’y nouent, etc. – mais aussi par une forme d’intimité étroite avec chaque composante de ce milieu – telle parcelle de céréales trop exposée au vent du nord, telle brebis capricieuse, tel arbre qui pourrait gêner celui d’à-côté… C’est une façon tout à fait différente de se relier au monde, qui m’a rappelé ce que j’avais pu voir chez les Achuar.
!
Vous dites que les zadistes expérimentent une « cosmopolitique inédite »...
Parce qu’ils donnent à voir des relations tout à fait différentes avec le monde vivant, avec qui ils construisent une façon de cohabiter qui est bien loin du productivisme ou du consumérisme. Nous ne sommes plus dans la prédation typique du capitalisme, qui ne conçoit les non-humains que sous la forme de ressources utiles à transformer en facteur de productions et en marchandises – une relation fondamentalement destructrice et mortifère.
Les zadistes, au contraire, nourrissent de véritables égards vis-à-vis du non-humain, il ne s’agit plus de les traiter comme des objets inertes, mais bien comme des alter ego, d’égal à égal. Ce n’est donc pas une « cosmopolitique » au sens où Kant l’entendait, lorsqu’il défendait son projet de paix perpétuelle auquel tous les humains pourraient participer en se reconnaissant mutuellement des qualités estimables – ce qui constituait par ailleurs un projet tout à fait admirable, à l’époque ! C’est une cosmopolitique inédite au sens où les non-humains font désormais partie du régime politique : ils ont un rôle à jouer dans la vie collective et dans les institutions, en tout cas il convient d’aménager celles-ci pour que les non-humains puissent y prendre toute leur part.
Et c’est inédit parce que ce registre d’attention là n’avait rien de spontané, au vu de l’origine urbaine de beaucoup d’occupants de la ZAD. D’ailleurs, au départ, le principe d’identification qui concourt à la défense du lieu résultait sans doute bien plus de l’opposition à un adversaire commun – un grand projet d’aéroport, inutile et coûteux. Mais cela ne suffit pas pour s’attacher à un lieu. Les zadistes ont appris à s’identifier progressivement à des plantes, à des animaux, au bocage et à tout un milieu de vie. Ils ont appris à reconnaître son caractère distinctif, à découvrir les singularités propres des plantes et des animaux qu’ils côtoient au quotidien. Et je trouve cet apprentissage particulièrement intéressant, car il signifie qu’il n’y a pas d’inéluctabilité à la séparation des humains avec le vivant dans ce que j’appelle le « naturalisme ».
Le naturalisme est l’une des quatre « ontologies », c’est-à-dire l’une des quatre grandes façons d’être au monde, que vous identifiez dans votre ouvrage de référence, Par-delà nature et culture [2]. À la différence de l’animisme, du totémisme ou de l’analogisme, le naturalisme stipule une parfaite dichotomie entre nature et culture. Pourquoi cette invention, parfaitement occidentale, vous semble-t-elle problématique ?
Le naturalisme, c’est l’idée qu’il y a une séparation de droit entre les humains et les non-humains. Les humains étant perçus comme les seuls détenteurs d’une âme, d’un esprit, d’une subjectivité, cela les place de fait dans une position de domination qui leur permet d’objectiver les non-humains, de les transformer en ressources, en objets de sciences, voire en sources de plaisir esthétique à l’image du mouvement romantique. Cela peut donc avoir un caractère tout à fait positif, puisque c’est ce qui a permis le développement des sciences de la nature.
Mais cette séparation entre humains et non-humains est aussi précisément ce qui a rendu possible ce mouvement de privatisation des « communs » – c’est-à-dire tous ces éléments non humains partagés par des groupes d’humains : l’eau, les forêts, les pâtures, mais aussi le savoir, par exemple – en les transformant en « ressources ». Celles-là mêmes qui ont ensuite permis, d’abord par la politique d’exploitation du travail et des matières premières dans les colonies, puis par le développement de la révolution industrielle qui en a découlé, une accumulation sans précédent de capital, avec toutes les conséquences écologiques et sociales que l’on connaît aujourd’hui. Autrement dit, par la tournure de pensée qu’il a induite chez les Européens à partir du 17e siècle et qui s’est ensuite accéléré et répandu à travers le monde, le naturalisme a été la condition de possibilité du capitalisme, son soubassement.
De ce fait, la crise climatique et écologique contemporaine hériterait donc directement du naturalisme ?
Le problème, c’est la forme d’impérialisme avec laquelle le naturalisme s’est imposé aux autres représentations du monde, partout ailleurs. Conceptuellement, on peut continuer de présenter les Chinois comme des « analogistes » – une tradition ancienne, également présente dans l’Europe du Moyen Âge ou dans les populations autochtones mésoaméricaines, qui veut que les éléments disparates du monde doivent être reliés dans des chaînes de correspondances, à l’instar de l’analogie entre le microcosme et le macrocosme, le corps humain et le cosmos céleste. Mais dans les faits, l’État chinois participe complètement à la grande bataille productiviste, basée sur cette idée démiurgique de contrôle et de transformation des ressources…
Le naturalisme n’est qu’une formulation parmi d’autres, et c’est même probablement l’une des représentations les plus exotiques en soi, en tout cas les moins bien partagées au monde ! L’idée d’une sorte de totalité extérieure aux humains qu’on appellerait « nature » n’a rien d’universel, il faut en avoir conscience. C’est pour ça que je dis que « la nature n’existe pas », pour toujours rappeler que c’est une construction.
Or, tout le drame du colonialisme, c’est qu’il n’a pas seulement pillé les ressources et réduit des populations en esclavage, mais il a aussi répandu les idées à l’origine même de ce mouvement de pillage généralisé. Et désormais, on en mesure effectivement les conséquences dramatiques, quand on voit que des populations, comme les Achuar, qui ne sont pour rien dans le changement climatique souffrent directement de ses conséquences… C’est aussi pour cela que le concept d’anthropocène me paraît mal nommé, et qu’un terme comme « capitalocène » serait bien plus juste : c’est bien une petite proportion de l’humanité qui, par sa gloutonnerie, a mis la totalité des humains dans une position terrible, en remettant en cause les possibilités de l’habitabilité sur Terre.
En quoi la relation des Achuar à leur environnement est-elle donc si différente ?
Les Achuar sont animistes, ils attribuent une âme aux plantes et aux animaux. Il y a ce qu’on peut appeler une « continuité des intériorités » : les capacités morales et cognitives ne sont pas réservées aux groupes humains, les Achuar décèlent également une subjectivité, et des intentions, chez les non-humains. Dès lors, ils ont avec eux des rapports différents, de personne à personne. Dans certaines circonstances, notamment dans les rêves où des non-humains prennent parfois des formes humaines, ils peuvent communiquer.
Ce ne sont plus des objets, mais bien des partenaires, et comme avec tout partenaire, il faut négocier, les séduire, les contraindre, etc. Mais il n’y a pas cette position de surplomb vis-à-vis d’une masse d’agrégats de non-humains qui constitueraient la « nature ». D’ailleurs, les Achuar n’ont pas de terme pour désigner la nature – en vérité, c’est même un terme qui n’existe que dans les langues européennes, quasiment introuvable ailleurs dans le monde.
Vous avez d’abord étudié la philosophie lorsque vous êtes entré à l’École normale supérieure. Qu’est-ce qui vous a poussé ensuite à vous tourner vers la discipline de l’anthropologie ?
Une petite désaffection vis-à-vis de la philosophie, disons. Plutôt que de faire de l’épistémologie, ou de l’histoire de la philosophie, il m’a semblé plus intéressant d’examiner des expériences philosophiques grandeur nature, que des collectifs humains pouvaient les mettre en œuvre. Même si ces expériences n’étaient pas nécessairement réflexives, j’avais le pressentiment qu’elles étaient porteuses d’enseignements dont on pouvait tirer parti. L’anthropologie permet de « dés-eurocentrer » le regard, et en l’occurrence, cela m’a aussi appris à « dés-anthropocentrer » les concepts que j’utilisais.
Après tout, les sciences sociales sont des héritières directes de la philosophie des Lumières, et si tout le monde utilise à présent les concepts de « nature », de « culture », de « société », il ne faut jamais oublier qu’ils ont une histoire tout à fait singulière, qui nous est propre, en Europe. L’anthropologie invite à remettre en question toutes ces notions et à en proposer d’autres.
Et à quoi donc peut servir aujourd’hui l’anthropologie ? Peut-elle nous aider à mieux métaboliser la crise écologique ?
À faire prendre conscience à nos concitoyens que les chemins sur lesquels nous nous sommes embarqués, avec le naturalisme puis le développement du capitalisme, ne sont pas les seuls possibles ! L’Histoire le montre aussi, mais à travers le passé, alors que l’anthropologie donne à voir des peuples contemporains qui nous offrent d’autres choix collectifs. C’est un tremplin pour imaginer d’autres futurs possibles.
Cela permet d’échapper à ce que François Hartog appelle le « présentisme », l’illusion que nous sommes dans un présent éternel, alors qu’il y a en fait de très nombreuses voies différentes que nous pourrions choisir. Il ne s’agit pas de copier des modèles existants, puisqu’aucune situation historique n’est transposable. Il s’agit simplement d’admettre, comme des stimulants intellectuels, toutes ces formules alternatives qui conçoivent et dessinent autrement la vie en collectivité, le rapport aux non-humains, l’organisation sociale, etc.
C’est fondamentalement une entreprise de déconstruction ?
Par définition, oui : l’anthropologie consiste à faire abstraction de valeurs qu’on porte en soi, pour mieux observer des réalités qui peuvent ensuite remettre en question nos propres certitudes. Donc la dimension critique est automatique. La principale qualité de l’ethnographe, c’est l’humilité, qui l’incite à se méfier de ses préjugés. L’anthropologue est entre deux mondes, il doit abandonner en partie celui dont il vient, sans être jamais entièrement dans celui qui l’accueille. Et c’est parce qu’il a cette distance qu’il peut être efficace, en faisant ainsi varier les paramètres de son propre monde à partir des paramètres du monde où il a choisi d’élire domicile.
Est-ce cela qui vous a conduit à vous éloigner progressivement du marxisme, dont vous avez été un compagnon de route pendant longtemps ?
Il y a beaucoup de choses à conserver chez Marx, par exemple sa théorie de la plus-value qui reste complètement d’actualité. Beaucoup des textes de jeunesse de Marx sont très intéressants parce qu’ils s’efforcent précisément d’aller à l’encontre du naturalisme. Mais ensuite, avec ses textes plus économiques, et notamment Le Capital, il a fini par se laisser happer par sa critique de l’économie politique, et il a eu tendance à naturaliser l’activité productive comme étant caractéristique du temps présent… En cela, il est typique des penseurs socialistes du 19e siècle qui n’ont pas pris en considération la finitude des ressources. Or, c’est justement un point crucial qui met à mal tout le projet construit sur l’émancipation des peuples grâce au développement des forces productives.
Au cœur de ce couplage, il y a en fait une double imposture qu’a bien mis en évidence Pierre Charbonnier dans son livre Abondance et liberté : on rendait ainsi possible l’émancipation par l’enrichissement et par l’accès à un très grand nombre de marchandises, sans prendre en considération le fait que cela n’était possible que par un phénomène de surexploitation des ressources, que ce soit la force de travail réduite en esclavage ou les matières premières, également hors d’Europe, et qui paraissaient donc infinies puisqu’on n’en voyait pas l’épuisement. Cela, Marx l’avait vu également d’une certaine façon, à travers la théorie du fétichisme de la marchandise : il explique bien qu’on ne perçoit pas la valeur travail qui est investie dans les marchandises, et qu’on finit par avoir tendance à voir les rapports entre les humains comme des rapports entre les marchandises.
De ce point de vue, la situation qui permettrait de sortir d’une logique marchande suppose donc de sortir de la logique de production, qui est caractéristique du naturalisme. Or, autant il y a bien des débats vifs sur le principe d’accumulation capitaliste, autant l’idée de production en tant que telle reste encore quelque chose d’assez répandu. Mettre l’accent sur le fait que nous devons être sensibles aux non-humains comme partenaires dans un mouvement général d’émancipation, ça permet ainsi de changer complètement de logiciel.
Certains vous rétorqueront que déconstruire le dualisme nature-culture n’offre pas beaucoup de prises concrètes, face à l’urgence de la crise écologique et l’ampleur des dégâts, voire que cela contribuerait à dépolitiser le sujet. Et que, si l’on considère le capitalisme comme le premier facteur responsable de la crise écologique, alors c’est à lui qu’il faut s’attaquer en priorité. C’est en substance ce que défend par exemple un penseur comme Frédéric Lordon [3]. Que répondez-vous à cela ?
« Il faut tout faire en même temps, à la fois se battre contre les institutions du capitalisme, mais aussi produire des alternatives concrètes »
Qu’il faut, bien évidemment, lutter contre les institutions qui propagent et rendent possibles l’accumulation capitaliste, ça va de soi. Je n’ai jamais caché mes opinions là-dessus. Mais qu’est-ce que ça veut dire, aujourd’hui, être anticapitaliste ? Quelle forme ça prend ? Est-ce que c’est le « Grand Soir », est-ce qu’on compte faire la Révolution et pendre tous les patrons au réverbère ? Il y a une erreur profonde sur l’état de la situation historique, qui ne s’y prête pas. C’était déjà le cas quand j’étais militant à la Ligue communiste révolutionnaire (ancêtre du NPA, ndlr) dans ma jeunesse, et c’est précisément la raison pour laquelle j’en suis parti. Notre espoir, complètement fou, c’était de devenir l’avant-garde du prolétariat, mais on ne s’était pas rendu compte que le prolétariat, tel qu’on le concevait, était en train de disparaître puisque la classe ouvrière elle-même était en train de disparaître…
Aujourd’hui, je vois dans les luttes écologiques une capacité de mobilisation absolument extraordinaire, que je ne retrouve pas dans les luttes anticapitalistes traditionnelles, dont les modes d’action n’ont pas beaucoup progressé depuis 50 ans et qui consistent essentiellement à distribuer des tracts à la sortie des usines. Moi, j’ai été très déçu par la variante léniniste de ce militantisme, qui débouche sur une impasse. Et de manière générale, il est toujours dangereux de prioriser et de ne considérer tout le reste que comme des « contradictions secondaires ».
Au contraire, il faut tout faire en même temps, à la fois se battre contre les institutions du capitalisme, mais aussi produire des alternatives concrètes – ce n’est pas l’un ou l’autre. Et c’est aussi pour ça que Notre-Dame-des-Landes est un cas si intéressant : au-delà de sa valeur exemplaire, elle a aussi offert un point d’appui important pour continuer les luttes institutionnelles. C’est tangible. Sinon, la lutte anticapitaliste reste juste incantatoire, et c’est rarement satisfaisant…
Vous vous êtes rendu à plusieurs reprises sur la ZAD de Notre-Dame-des-Landes, ces dernières années : qu’est-ce qui vous y plaît tant, au fond ?
Le projet politique qui y est défendu, et qui est encore très mal compris par ailleurs – il suffit de voir les politiciens de droite en parler pour mesurer leur ignorance et leur mépris. La ZAD porte un projet de vie communal, dans lequel les terres, comme le travail, sont en commun. Dans lequel il n’y a pas de logique marchande derrière l’acte de production, mais plutôt une forme d’entraide, de solidarité. Dans lequel les décisions politiques, c’est-à-dire celles qui concernent la vie collective, sont prises par discussion – c’est donc une démocratie participative plutôt que représentative. Ce qui est à la fois extraordinaire, avec un fort effet d’exemplarité, mais aussi très coûteux, puisque cela exige de rechercher et obtenir en permanence le consensus. Et de ce point de vue là aussi, on devine que cela peut être très inquiétant pour des politiciens qui considèrent qu’une fois que le citoyen a mis son bulletin de vote, il n’a plus le droit à la parole !
Au fond, la ZAD propose un récit alternatif qui est porteur d’enthousiasme. Ce n’est pas pour rien qu’il s’en crée un peu partout : contre les retenues d’eau pour la neige artificielle comme à La Clusaz, contre les mégabassines dans l’agriculture, contre des projets d’aménagement urbain, comme aux Lentillères à Dijon… C’est une forme d’occupation du territoire qui fait tache d’huile. Au début, c’est toujours une mobilisation contre un projet, et ensuite, cette mobilisation se stabilise en un mode de vie particulier. Cela m’a beaucoup frappé lorsque j’y étais, en juillet dernier, pour le festival « Zadenvies » : tous ces jeunes sont là en quête d’une altérité possible, d’une autre façon de voir et d’être ensemble. C’est ce qui est passionnant, ces modes d’action engendrent des modes de vie. Et de la joie, aussi, il faut voir l’enthousiasme à partager ces luttes. Tant mieux, car le militantisme ne doit pas être une martyrologie !
Essai
essau
essau
- Autre type de commun naturel
essau
essau
Essieu
Essieu
- Section de communes
Essieu
Essieu
Etables
Etables
- Section de communes
Etables
Etables
Etranginaz
Etranginaz
- Section de communes
Etranginaz
Etranginaz
Evieuet La Sauge
Evieuet La Sauge
- Section de communes
Evieuet La Sauge
Evieuet La Sauge
Evron
Evron
- Section de communes
Evron
Evron
Faîte et racines
Faîte et racines
ET EXPÉRIMENTONS LA FORÊT JARDINÉE !
- Communs de montagnes et de piémonts (montagnes et reliefs au pied des montagnes…)
- Terres et mers d'Europe
Les forêts de l’association sont un bien commun. Elles sont des espaces de protection, de découverte du milieu forestier, et d’expérimentation de pratiques sylvicoles douces.
Faîte et Racines mène ses actions selon 3 axes complémentaires :
- Achat collectif de forêts menacées de destruction afin de les protéger et d’en faire une propriété collective associative,
- Créer des animations autour de la forêt afin de sensibiliser à sa protection : événements festifs et culturels, chantiers d’entretien, formation à la sylviculture…,
- Soutenir et faire vivre une filière éthique, locale et artisanale de la forêt.
Feniere
Feniere
- Section de communes
Feniere
Feniere
Feuilles
Feuilles
- Section de communes
Feuilles
Feuilles
Fontaine
Fontaine
- Section de communes
Fontaine
Fontaine
Forens
Forens
- Section de communes
Forens
Forens
Forêt préservée du pays de Nay
Forêt préservée du pays de Nay
- Date de la donation : décembre 2022
- Propriété actuelle de Forêts préservées : 13,42 hectares
- Localisation : à l’étage collinéen, entre Pau et la chaîne pyrénéenne (Pyrénées atlantiques)
- Type de forêt : hêtraie chênaie et châtaigneraie
- Altitude : entre 260 et 360 mètres
- Chasse : Le site est très peu parcouru par les chasseurs, avec une battue au sanglier tous les 3 à 4 ans. Un chasseur à la bécasse identifié parcourt parfois la zone.
- Communs de montagnes et de piémonts (montagnes et reliefs au pied des montagnes…)
- Terres et mers d'Europe
- Un grand merci au couple qui a fait don de cette forêt à Forêts préservées, afin qu’elle continue à « vivre sa vie » en évolution naturelle.
- C’est une forêt ancienne (présente sur les cartes d’État major du 19ème siècle) orientée vers l’ouest, situé sur des pentes assez fortes et sur socle granitique. Les espèces de fin de succession écologique y sont présentes, ce sont ici le chêne pédonculé et le hêtre, qui se mélangent en haut du parcellaire avec de très gros châtaigniers.
- Le site a été exploité dans sa majeure partie il y a une trentaine d’années. Toutefois, de très gros hêtres et chênes épars ont été épargnés. On y trouve des chandelles (bois mort sur pied) atteignant 75 cms de diamètre, des chênes et des châtaigniers dépassant le mètre de diamètre.
- La grosseur de certains arbres et la présence de gros bois morts permet la présence de nombreux dendro-microhabitats, notamment des trous de pics, des troncs creux, des cavités à terreau de pied et de tronc hébergeant des cortèges d’espèces rares en forêt exploitée. Le pic noir y est présent, en témoignent loges et trous de nourrissage.
- Aucune piste forestière ni sentier pédestre ne traversent le site. Avec le temps, la forêt pourra acquérir une maturité rare dans le secteur, et devenir une vieille forêt majestueuse proche de zones relativement urbanisées.
Forêt sectionale d'Angoilas
Forêt sectionale d'Angoilas
- Communs des plaines et collines (ailleurs…)
- Terres et mers d'Europe
- Conservation des forêts (stockage de carbone, prévention des incendies, qualité de l'air…)
- Biodiversité (conservation, maintien, création par les pratiques et les usages…)
- Cadre de vie (fabrique de beaux paysages, patrimoines et cadres de vie de qualité, accueil, tourisme soutenable, récréation, ressourcement et activités économiques liées…)
- Cohésion sociale (maintien de communautés rurales, citoyenneté, démocratie locale, transmission de la connaissance des lieux, des milieux, des risques…)
- Économie (création et maintien d'activités économiques et d'emplois non-délocalisables…)
- Émergent (mobilisation locale en cours)
- Vivant (communauté active d'usagers)
- Menacé (risque d'enclosure, d'aliénation, de destruction)
- Forêts, boisements, bosquets
- Energie du bois et végétaux (affouage, bois de chauffe, biomasse, petite méthanisation…)
- Ressource “sauvage” (non cultivée) (cueillette, grapillage, glanage…)
- Ressource “sauvage” (non cultivée) (chasse, capture…)
Forêt sectionale de Gavet-Clavaux
Forêt sectionale de Gavet-Clavaux
- La forêt sectionale de Gavet-Clavaux relevant du régime forestier, sise sur le territoire de la commune de LIVET et GAVET est de 232 hectares.
- Communs de montagnes et de piémonts (montagnes et reliefs au pied des montagnes…)
- Section de communes
- Réglementé (bail, convention, traité, us & coutumes…)
- Conservation des forêts (stockage de carbone, prévention des incendies, qualité de l'air…)
- Menacé (risque d'enclosure, d'aliénation, de destruction)
- Forêts, boisements, bosquets
- Energie du bois et végétaux (affouage, bois de chauffe, biomasse, petite méthanisation…)
Forêt usagère de la Teste de Buch
Forêt usagère de la Teste de Buch
- Forêt usagère
Forêt usagère de la Teste de Buch
Forêt usagère de la Teste de Buch
- Communs des littoraux et des mers (dans la mer ou en bord de mer, que ce soit dans un marais, des dunes, des falaises, des forêts rétro-littorales…)
- Terres et mers d'Europe
Forêt usagère, elle est en effet privée (en ce qui concerne le sol et les cabanes) et communautaire (en ce qui concerne les boisements) ; les arbres sont toujours réservés à l’usage des habitants et ce droit, codifié on l’a vu depuis le XVe siècle au moins, peut se résumer ainsi : droit au bois vif pour la construction, au bois mort sec, abattu ou à abattre pour le chauffage. A ce droit au bois, il faut en ajouter d’autres dont la conséquence la plus visible est l’impossibilité de clôturer les parcelles car l’usage suppose le libre parcours. Ainsi, les arbres étant destinés à servir les besoins de la population, les propriétaires fonciers n’en ont jamais eu la libre disposition si bien que la forêt n’a jamais été « exploitée », les seules coupes autorisées sont celles « pied par pied », selon les nécessités du devis, des plus beaux arbres destinés à la construction. Comme la charge de cette « cueillette » doit équitablement peser sur chacune des 148 parcelles, une rotation des prélèvements est instituée si bien qu’il ne peut exister ni dépressage, ni éclaircies, ni coupes de régénération étendues. Les arbres restent en place jusqu’à ce qu’ils meurent, et lorsqu’ils sont secs, ils demeurent encore la propriété des usagers qui peuvent les abattre pour se chauffer.
La forêt usagère est une forêt privée. Plusieurs propriétaires privés se partagent la forêt. Cependant, les habitants de la commune de la Teste de Buch disposent d'un droit d'accès pour accéder à ces terrains. S'il ne s'agit pas une véritable copropriété, dans la mesure où il n'existe pas de lien contractuel ou de personnalité morale entre chaque propriétaire, on peut considéré néanmoins que l'ensemble de ces propriétés sont toutes grevés des mêmes droits de "propriétés d'usage" des habitants.
Ces droits sont ainsi retranscrits au sein des "Baillettes et Transactions", un recueil d'actes notamment notariés, permettant d'attester de la légalité des droits d'usage.
"Les habitants sont répartis en deux catégories: les ayant–pins, propriétaires des parcelles et disposant du droit d’extraire la gemme et les non –ayant–pins jouissant du droit d’usage sur le bois mort et le bois vert".https://www.addufu.org/baillettes-et-transactions/
L'association de défense des droit d'usage de la forêt usagère centralise l'ensemble des droits d'usage et défend les droits d'usage de la Communauté.
- Conservation des forêts (stockage de carbone, prévention des incendies, qualité de l'air…)
- Sources d'énergies renouvelables (biomasse, petite hydro-électricité, moulins…)
- Biodiversité (conservation, maintien, création par les pratiques et les usages…)
- Conservation des eaux (potables, perméabilité des sols, recharge des nappes, ralentissement des eaux pluviales, lutte contre l'érosion et les inondations…)
- Défense du littoral et de la mer (trait de côte, atténuation des submersions, des houles, de la salinisation des sols, biodiversité marine…)
- Cadre de vie (fabrique de beaux paysages, patrimoines et cadres de vie de qualité, accueil, tourisme soutenable, récréation, ressourcement et activités économiques liées…)
- Cohésion sociale (maintien de communautés rurales, citoyenneté, démocratie locale, transmission de la connaissance des lieux, des milieux, des risques…)
- Économie (création et maintien d'activités économiques et d'emplois non-délocalisables…)
- Vivant (communauté active d'usagers)
- Menacé (risque d'enclosure, d'aliénation, de destruction)
Dans la journée du 12 juillet 2022, un incendie s’est déclaré dans la forêt de la Teste. Cet incendie est parti de la Piste 214 ; nous laisserons aux autorités le soin de déterminer les responsabilités directes du départ de ce feu. Par la suite de la propagation de cet incendie la quasi totalité des parcelles représentant la forêt usagère ont été incendiées, de même de que nombreuses parcelles de forêt du « semis moderne », tant privé que public.
Plus tôt, le 11 mai 2022, le Ministère de l'Agriculture a publié le Rapport du CGAAER n° 21092 et CGEDD n° 014045-01 - La forêt usagère de la Teste de Buch - Un fragile équilibre entre propriété et usage
Ce rapport fait état des conflits d'usage existant et de la difficulté d'adapter des plan de gestion des feux de forêts au regard de la garantie des droits d'usage sur les bois tombés des usagers et de l'obligation de coupe des propriétaires.
https://agriculture.gouv.fr/rapport-du-cgaaer-ndeg-21092-et-cgedd-ndeg-014045-01-la-foret-usagere-de-la-teste-de-buch-un#:~:text=mai%202022%20Publication-,Rapport%20du%20CGAAER%20n%C2%B0%2021092%20et%20CGEDD%20n%C2%B0,%C3%A9quilibre%20entre%20propri%C3%A9t%C3%A9%20et%20usage&text=Concilier%20droit%20de%20propri%C3%A9t%C3%A9%20et,de%20la%20Teste%20de%20Buch.
- Forêts, boisements, bosquets
- Energie du bois et végétaux (affouage, bois de chauffe, biomasse, petite méthanisation…)
- Matériaux (bois d’oeuvre, pour la construction, bois, paille, terre, torchis, pierre, galets…)
Framasoft
Framasoft
Fromente
Fromente
- Section de communes
Fromente
Fromente
Genevray
Genevray
- Section de communes
Genevray
Genevray
Gevrin
Gevrin
- Section de communes
Gevrin
Gevrin
Gignez
Gignez
- Section de communes
Gignez
Gignez
Giron-Derriere
Giron-Derriere
- Section de communes
Giron-Derriere
Giron-Derriere
Giron-Devant
Giron-Devant
- Section de communes
Giron-Devant
Giron-Devant
Glandieu
Glandieu
- Section de communes
Glandieu
Glandieu
Grammont
Grammont
- Section de communes
Grammont
Grammont
Gravelles
Gravelles
- Section de communes
Gravelles
Gravelles
Gressin
Gressin
- Section de communes
Gressin
Gressin
Gretchen Walters
Gretchen Walters
Je travaille sur les communs au Gabon (Afrique centrale) et en France, à la fois comme chercheur, praticien et commoner depuis 18 ans. De formation anthropologue et botaniste, je travaille souvent dans le contexte de la conservation de la biodiversité et des communs, et comme professeure à l'Université de Lausanne.
Ma maison est alimentée par le bois d'affouage que nous récoltons avec d'autres sectionaux, dans une section de commune un type de common. Je fais partie de l'AFASC, un groupe qui défend les sections de commune en France. Je suis membre honoraire du Consortium APAC, une organisation populaire qui soutient les communs gouvernés par les communautés locales et les peuples autochtones. À travers différents réseaux, je collabore avec des chercheurs, des élus et des commoners pour valoriser les communs européens et africains de manière traditionnelle et nouvelle. Je trouve mon inspiration à la fois dans les communs ancestraux et ruraux et dans les nouveaux communs qui émergent dans les zones rurales et urbaines.
Guillon
Guillon
- Section de communes
Guillon
Guillon
H Olivier
H Olivier
Commoneur et membre honoraire de Territoires de vie (anciennement ICCA), immergé dans une approche non culturelle, non sectorielle, non disciplinaire et pré-éclairée. Écologue de formation à l'origine, j'ai réalisé, comme les grands-pères de la conservation, que la conservation n'était pas seulement une question d'écologie, mais surtout de sciences sociales, et je suis donc devenue anthropologue. J'adopte une approche Galen des acronymes ; étant dyslexique, les acronymes sont tout simplement incompréhensibles.
Je suis particulièrement engagé dans l'inclusion des peuples autochtones, des communautés locales et des commoneurs (y compris les Européens souvent oubliés). Il est important de noter que le chemin pré-âge des Lumières que j'ai parcouru m'a permis de comprendre l'esprit du processus de Consentement, Libre, Informé et Préalable qui constitue un aspect important (mais très abusé) de la reconnaissance des de Territoires de Vie, les Autres Mesures de Conservation Efficace par Zone pour lequel je suis l'un des coordinateurs du groupe stratégique européen de la Commission Mondiale des Aires Protégées.
La Blanchere
La Blanchere
- Section de communes
La Blanchere
La Blanchere
La Chanaz Et Toulongeon
La Chanaz Et Toulongeon
- Section de communes
La Chanaz Et Toulongeon
La Chanaz Et Toulongeon
La Chapelle
La Chapelle
- Section de communes
La Chapelle
La Chapelle
La Perrinche
La Perrinche
- Section de communes
La Perrinche
La Perrinche
La Pierre
La Pierre
- Section de communes
La Pierre
La Pierre
La Société Civile des Terres du Larzac
La Société Civile des Terres du Larzac
- Autre type de commun naturel
La Verne
La Verne
- Section de communes
La Verne
La Verne
La Vuillat
La Vuillat
- Section de communes
La Vuillat
La Vuillat
Lacharme
Lacharme
- Section de communes
Lacharme
Lacharme
Lagnat
Lagnat
- Section de communes
Lagnat
Lagnat
Laruat
Laruat
- Section de communes
Laruat
Laruat
Lassera
Lassera
- Section de communes
Lassera
Lassera
Lavant
Lavant
- Section de communes
Lavant
Lavant
Le Balmay
Le Balmay
- Section de communes
Le Balmay
Le Balmay
Le Béal Neuf
Le Béal Neuf
- Béal
Le Béal neuf de Vallouise
Le Béal neuf de Vallouise
- Communs de montagnes et de piémonts (montagnes et reliefs au pied des montagnes…)
- Communs des eaux douces (dans et autour des fleuves, rivières, lacs, mares, marécages, zones humides…)
- Terres et mers d'Europe
C'est une ASA (Association Syndicale Autorisée regroupant les usagers de la ressource en eau) qui gère, entretient, et aménage le canal porteur du Béal Neuf pour alimenter en eau l’ensemble du réseau des canaux d’irrigation. Irrigation des prairies et des jardins individuels, conservation des traditions, maintien du lien social grâce aux corvées des canaux entre habitants, aménagement des canaux pour offrir des balades aux touristes et locaux… Les canaux ont une pluralité de rôles d’où l’intérêt de les conserver et de les entretenir.
- Biodiversité (conservation, maintien, création par les pratiques et les usages…)
- Conservation des eaux (potables, perméabilité des sols, recharge des nappes, ralentissement des eaux pluviales, lutte contre l'érosion et les inondations…)
- Cadre de vie (fabrique de beaux paysages, patrimoines et cadres de vie de qualité, accueil, tourisme soutenable, récréation, ressourcement et activités économiques liées…)
- Cohésion sociale (maintien de communautés rurales, citoyenneté, démocratie locale, transmission de la connaissance des lieux, des milieux, des risques…)
- Vivant (communauté active d'usagers)
- Prairies de fauche, prairies humides, autres prairies
- Réseaux d'irrigation, de drainage, de canaux, de fossés
- Elevage - mammifères (vaches, chèvres, moutons…)
Le Bonnet
Le Bonnet
- Section de communes
Le Bonnet
Le Bonnet
Le Brevet
Le Brevet
- Section de communes
Le Brevet
Le Brevet
Le Cret
Le Cret
- Section de communes
Le Cret
Le Cret
Le Cropetet
Le Cropetet
- Section de communes
Le Cropetet
Le Cropetet
Le Parlement de Loire
Le Parlement de Loire
- Autre type de commun naturel
Le Parlement de Loire
Le Parlement de Loire
- Communs des eaux douces (dans et autour des fleuves, rivières, lacs, mares, marécages, zones humides…)
- Terres et mers d'Europe
Initiée par le POLAU en 2019, le parlement de Loire est une démarche territoriale entre arts, sciences et droits de la nature. Issue d’un cycle d’auditions publiques pour envisager la reconnaissance d’une personnalité juridique du fleuve, la démarche parlement de Loire prend appui sur les notions de droits de la nature, de bassin versant, d’attachements au milieu, de cohabitation avec le vivant. Cette démarche participe à faire communauté, à sensibiliser aux enjeux du fleuve et à créer des nouveaux récits de Loire. Elle se déploie au travers un cycle d’auditions publiques, la publication d’un ouvrage collectif, rapport des auditions du parlement de Loire, d’une programmation d’évènements fédérateurs, d’accompagnement d’initiatives arts-sciences et des études urbaines pour mettre en place de nouvelles manières d’aménager le territoire.
bouleversements en cours. Pensée à l’échelle de son bassin versant - territoire du fleuve et de ses affluents -, la Loire irrigue plus d’un cinquième du territoire français.
- Conservation des eaux (potables, perméabilité des sols, recharge des nappes, ralentissement des eaux pluviales, lutte contre l'érosion et les inondations…)
- Cadre de vie (fabrique de beaux paysages, patrimoines et cadres de vie de qualité, accueil, tourisme soutenable, récréation, ressourcement et activités économiques liées…)
- Cohésion sociale (maintien de communautés rurales, citoyenneté, démocratie locale, transmission de la connaissance des lieux, des milieux, des risques…)
- Économie (création et maintien d'activités économiques et d'emplois non-délocalisables…)
Et si le fleuve Loire et les entités qui le constituent pouvaient témoigner des dommages qu’il subit ? Et si le fleuve Loire avait la possibilité de défendre ses intérêts, et notamment, d’intenter des actions en justice en son nom ? Et si le fleuve Loire pouvait siéger dans les instances chargées de sa gestion, notamment par le biais de « gardiens de la rivière », de
« traducteurs des valeurs et des intérêts du fleuve » ? Et si un parlement de Loire, chargé de discuter des usages du fleuve, veillait à une plus juste répartition des droits entre les intérêts humains et les intérêts autres qu’humains ?
Une Loire dotée d’une personnalité juridique inspire les Ligériens. Ce qui pouvait apparaître il y a peu comme une fiction devient une réalité partout sur la planète. En Nouvelle-Zélande, le fleuve Whanganui, en Colombie, le Rio Atrato sont récemment devenus des sujets de
droit. En Europe, d’autres collectifs suivent ; le Rhône, la Seine et le Tavignano en Corse visent une reconnaissance légale à travers la déclaration de leurs droits.
Pour la Loire, la démarche « vers un parlement de Loire » est avant tout
culturelle. Elle convie des imaginaires autour de sujets liés à l’alerte climatique,
elle favorise l’émergence de nouveaux concepts. Elle permet d’expérimenter des actes de création et des gestes de cohabitation, des rituels, des registres d’actions entre arts, sciences (biologie, écologie, anthropologie, droit, géographie...) et des décisions publiques.
- Potentiel (en attente d'une communauté active d'usagers)
- Ressource “sauvage” (non cultivée) (pêche, pêche à pied…)
Le Petit Simandre
Le Petit Simandre
- Section de communes
Le Petit Simandre
Le Petit Simandre
Le Réseau Sagne
Le Réseau Sagne
- Zone humide
Le réseau Sagne
Le réseau Sagne
- Communs des eaux douces (dans et autour des fleuves, rivières, lacs, mares, marécages, zones humides…)
- Terres et mers d'Europe
Le Réseau SAGNE accompagne aujourd’hui 100 propriétaires ou gestionnaires qui gèrent à eux seuls plus de 1120 ha de zones humides. Ils inscrivent la gestion de leurs sites dans une démarche de gestion durable, c’est-à-dire permettant de conserver les qualités fonctionnelles et écologiques des sites.Ce patrimoine, d’intérêt général, est très souvent en propriété privée, d’où la difficulté d’application des politiques publiques en faveur de ces milieux. Le Réseau SAGNE a pour particularité de travailler en coopération avec les propriétaires et gestionnaires de sites, qu’ils soient publics ou privés. Il s’attache à intervenir au plus près des acteurs de terrains, et à construire avec eux les solutions de gestion les plus durables. Permettre l’utilisation d’un site et sa gestion, tout en en préservant les qualités fonctionnelles et écologiques, telle est l’ambition du Réseau SAGNE.
Le Villard
Le Villard
- Section de communes
Le Villard
Le Villard
Les Basses-Rossettes
Les Basses-Rossettes
- Section de communes
Les Basses-Rossettes
Les Basses-Rossettes
Les Greffets
Les Greffets
- Section de communes
Les Greffets
Les Greffets
Les Hautes-Rossettes
Les Hautes-Rossettes
- Section de communes
Les Hautes-Rossettes
Les Hautes-Rossettes
Les landes de Vauville
Les landes de Vauville
- Terres et mers d'Europe
- Commun administré par une collectivité locale
- Commun administré par un établissement public
- Conservation des forêts (stockage de carbone, prévention des incendies, qualité de l'air…)
- Biodiversité (conservation, maintien, création par les pratiques et les usages…)
- Autonomie alimentaire (relocalisation de productions, préservation de semences, de végétaux, d'animaux rustiques résistants…)
- Santé et soins (liés à l'alimentation, aux plantes, santé des habitats et des écosystèmes, bienfaits sur la santé mentale…)
- Cohésion sociale (maintien de communautés rurales, citoyenneté, démocratie locale, transmission de la connaissance des lieux, des milieux, des risques…)
- Vivant (communauté active d'usagers)
- Menacé (risque d'enclosure, d'aliénation, de destruction)
Les landes de Vauville
Les landes de Vauville
Les landes de Vauville
- Communs des littoraux et des mers (dans la mer ou en bord de mer, que ce soit dans un marais, des dunes, des falaises, des forêts rétro-littorales…)
- Terres et mers d'Europe
- Conservation des forêts (stockage de carbone, prévention des incendies, qualité de l'air…)
- Biodiversité (conservation, maintien, création par les pratiques et les usages…)
- Autonomie alimentaire (relocalisation de productions, préservation de semences, de végétaux, d'animaux rustiques résistants…)
- Santé et soins (liés à l'alimentation, aux plantes, santé des habitats et des écosystèmes, bienfaits sur la santé mentale…)
- Cadre de vie (fabrique de beaux paysages, patrimoines et cadres de vie de qualité, accueil, tourisme soutenable, récréation, ressourcement et activités économiques liées…)
- Cohésion sociale (maintien de communautés rurales, citoyenneté, démocratie locale, transmission de la connaissance des lieux, des milieux, des risques…)
Service biodiversité / écosystèmes : accueille des habitats rares reconnus d'intérêts communautaires (landes basses du littoral atlantique, tourbières...) et des espèces protégées (fauvette pitchou, engoulevents, droseras...).
Agriculture : élevage de races anciennes (ovins, caprins, bovins, équidés)
- Potentiel (en attente d'une communauté active d'usagers)
- Vivant (communauté active d'usagers)
- Marais doux, marécages, zones humides
- Prairies de fauche, prairies humides, autres prairies
- Forêts, boisements, bosquets
- Elevage - mammifères (vaches, chèvres, moutons…)
- Ressource “sauvage” (non cultivée) (cueillette, grapillage, glanage…)
- Ressource “sauvage” (non cultivée) (chasse, capture…)
- Diversité biologique (semences, semences paysannes, variétés, cultivars, animaux rustiques…)
Les Mangettes
Les Mangettes
- Section de communes
Les Mangettes
Les Mangettes
Les Rippes
Les Rippes
- Section de communes
Les Rippes
Les Rippes
Leyzieu
Leyzieu
- Section de communes
Leyzieu
Leyzieu
Lhuire
Lhuire
- Section de communes
Lhuire
Lhuire
Longecombe
Longecombe
- Section de communes
Longecombe
Longecombe
Longeray
Longeray
- Section de communes
Longeray
Longeray
Lyonniere
Lyonniere
- Section de communes
Lyonniere
Lyonniere
Macconod
Macconod
- Section de communes
Macconod
Macconod
Magny
Magny
- Section de communes
Magny
Magny
Marais autour du pertuis d'Antioche - Brouage
Marais autour du pertuis d'Antioche - Brouage
- Biodiversité (conservation, maintien, création par les pratiques et les usages…)
- Conservation des eaux (potables, perméabilité des sols, recharge des nappes, ralentissement des eaux pluviales, lutte contre l'érosion et les inondations…)
- Défense du littoral et de la mer (trait de côte, atténuation des submersions, des houles, de la salinisation des sols, biodiversité marine…)
- Autonomie alimentaire (relocalisation de productions, préservation de semences, de végétaux, d'animaux rustiques résistants…)
- Santé et soins (liés à l'alimentation, aux plantes, santé des habitats et des écosystèmes, bienfaits sur la santé mentale…)
- Cadre de vie (fabrique de beaux paysages, patrimoines et cadres de vie de qualité, accueil, tourisme soutenable, récréation, ressourcement et activités économiques liées…)
- Cohésion sociale (maintien de communautés rurales, citoyenneté, démocratie locale, transmission de la connaissance des lieux, des milieux, des risques…)
- Économie (création et maintien d'activités économiques et d'emplois non-délocalisables…)
- Vivant (communauté active d'usagers)
- Menacé (risque d'enclosure, d'aliénation, de destruction)
- Marais doux, marécages, zones humides
- Marais salants, salés
- Réseaux d'irrigation, de drainage, de canaux, de fossés
- Elevage - mammifères (vaches, chèvres, moutons…)
- Elevage - en eaux de mer ou saumâtres (pisciculture, conchyliculture…)
- Diversité biologique (semences, semences paysannes, variétés, cultivars, animaux rustiques…)
Marais autour du pertuis d'Antioche - La Seudre
Marais autour du pertuis d'Antioche - La Seudre
- Communs des eaux douces (dans et autour des fleuves, rivières, lacs, mares, marécages, zones humides…)
- Communs des littoraux et des mers (dans la mer ou en bord de mer, que ce soit dans un marais, des dunes, des falaises, des forêts rétro-littorales…)
- Terres et mers d'Europe
- La digue Richelieu qui protège l'arrière des marais et les terres émergées des "malines" (les ondes de submersions les plus fortes)
- le système hydraulique et la complexité des milieux utiles pour les activités humaines d'élevage diverses, en particulier le nourissement des huitres (engraissement rapide)
- la richesse des habitats pour la biodiversité et l'avifaune (les oiseaux) qui est créée par l'activité humaine et le façonnement des marais
- Biodiversité (conservation, maintien, création par les pratiques et les usages…)
- Conservation des eaux (potables, perméabilité des sols, recharge des nappes, ralentissement des eaux pluviales, lutte contre l'érosion et les inondations…)
- Défense du littoral et de la mer (trait de côte, atténuation des submersions, des houles, de la salinisation des sols, biodiversité marine…)
- Autonomie alimentaire (relocalisation de productions, préservation de semences, de végétaux, d'animaux rustiques résistants…)
- Santé et soins (liés à l'alimentation, aux plantes, santé des habitats et des écosystèmes, bienfaits sur la santé mentale…)
- Cadre de vie (fabrique de beaux paysages, patrimoines et cadres de vie de qualité, accueil, tourisme soutenable, récréation, ressourcement et activités économiques liées…)
- Cohésion sociale (maintien de communautés rurales, citoyenneté, démocratie locale, transmission de la connaissance des lieux, des milieux, des risques…)
- Économie (création et maintien d'activités économiques et d'emplois non-délocalisables…)
- Protection contre les houles et les Malines par la digue Richelieu et les micro-relies des sartières et autres bassins et bosses
- le système hydraulique et la complexité des milieux utiles pour les activités humaines d'élevage diverses, en particulier le nourissement des huitres (engraissement rapide), l'activité économique liée, emploi locaux, transmission de savoirs, savoir-faire, culture des risques
- la richesse des habitats pour la biodiversité et l'avifaune (les oiseaux) qui est créée par l'activité humaine et le façonnement des marais (ce qui est difficilement admis par les gestionnaires publics, lire ici en page 19 dans le docob Natura 2000)
- Les paysages remarquables
- Vivant (communauté active d'usagers)
- Menacé (risque d'enclosure, d'aliénation, de destruction)
- Marais salants, salés
- Lagunes, deltas, mangroves
- Réseaux d'irrigation, de drainage, de canaux, de fossés
- Energie hydraulique (moulins, petite hydroélectricité…)
- Elevage - mammifères (vaches, chèvres, moutons…)
- Elevage - en eaux de mer ou saumâtres (pisciculture, conchyliculture…)
- Ressource “sauvage” (non cultivée) (pêche, pêche à pied…)
Marais autour du pertuis d'Antioche - Oléron
Marais autour du pertuis d'Antioche - Oléron
- Communs des littoraux et des mers (dans la mer ou en bord de mer, que ce soit dans un marais, des dunes, des falaises, des forêts rétro-littorales…)
- Terres et mers d'Europe
- Conservation des forêts (stockage de carbone, prévention des incendies, qualité de l'air…)
- Biodiversité (conservation, maintien, création par les pratiques et les usages…)
- Défense du littoral et de la mer (trait de côte, atténuation des submersions, des houles, de la salinisation des sols, biodiversité marine…)
- Autonomie alimentaire (relocalisation de productions, préservation de semences, de végétaux, d'animaux rustiques résistants…)
- Santé et soins (liés à l'alimentation, aux plantes, santé des habitats et des écosystèmes, bienfaits sur la santé mentale…)
- Cadre de vie (fabrique de beaux paysages, patrimoines et cadres de vie de qualité, accueil, tourisme soutenable, récréation, ressourcement et activités économiques liées…)
- Cohésion sociale (maintien de communautés rurales, citoyenneté, démocratie locale, transmission de la connaissance des lieux, des milieux, des risques…)
- Économie (création et maintien d'activités économiques et d'emplois non-délocalisables…)
- Vivant (communauté active d'usagers)
- Menacé (risque d'enclosure, d'aliénation, de destruction)
- Marais salants, salés
- Bocages, haies et réseaux de haies
- Réseaux d'irrigation, de drainage, de canaux, de fossés
- Elevage - mammifères (vaches, chèvres, moutons…)
- Elevage - en eaux de mer ou saumâtres (pisciculture, conchyliculture…)
- Ressource “sauvage” (non cultivée) (pêche, pêche à pied…)
Marais de Brouage
Marais de Brouage
- Marais
- Le marais s'est constitué et a été aménagé par les humains de longue date.
- Les ressources utilisées sont l'herbe, le phytoplancton, les capacités de nourrissage du marais, le sel, grâce à l'aménagement très ancien d'un réseau hydraulique double, salé, doux, extrêmement ingénieux
- Eleveurs, conchyliculteurs, saliculteurs, aquaculteurs (...),
- imbrication complexe de diverses communautés utilisatrices
Le marais de Brouage s’organise autour de 4 grandes associations syndicales (AS) situées sur des casiers hydrauliques et qui gèrent le réseau primaire et secondaire « interne » du marais de Brouage. Elles assurent également la gestion de l’alimentation des canaux du réseau secondaire et donc indirectement du tertiaire, et la gestion des ouvrages de prise sur le Canal Charente-Seudre ainsi que le canal de Broue.
Elles sont historiquement constituées par le « Règlement général de l’arrondissement de Marennes » (dit règlement Le Terme) approuvé par Ordonnance Royale du 29 septembre 1824. À noter que depuis 20 ans, les associations syndicales de Moëze et de Montportail sont gérées conjointement. Toutes les AS adhèrent à l’UNIMA.
Structurellement le réseau hydraulique de ces 4 associations syndicales est très différent :
- L’ASA de Montportail est celle faisant l’objet d’une gestion « au plus local » : avec 56 km de réseau et 20 propriétaires fonciers concernés, c’est le plus petit réseau d’AS du marais de Brouage et elle se trouve isolée hydrauliquement des autres (alimentation par pompage depuis l’ASCO de Moëze) ;
- L’ASCO des marais de Moëze est de taille intermédiaire, avec 375 km de réseau en gestion. Elle est principalement gérée par des céréaliculteurs ;
- Les ASCO de Saint-Agnant-St Jean d’Angle et Brouage-Marennes couvrent un périmètre beaucoup plus grand et représentent les 3⁄4 de la superficie du marais de Brouage et 80% du linéaire de canaux.
Les associations syndicales assurent de manière exclusive la maîtrise d’ouvrage des travaux relatifs à l’entretien et à la restauration du réseau hydraulique secondaire, notamment les travaux de curage et de confortement des berges, la remise en état et l’entretien courant des ouvrages hydrauliques existants du réseau primaire et secondaire, les travaux sur la ripisylve : fauchage, débroussaillage ... Voir ici.
- Maintien, voire création de biodiversité (voir ici)
- Maintien du trait de côte, digues, micro-reliefs, protection (Voir ici et ici)
- Economie locale, soutenable, aquaculture, élevage extensif (voir ici et ici)
- Protection et fabrique de paysages remarquables (voir ici)
- "Culture du risque" (houles, crues), maintien d'une culture ancestrale respectueuse des ressources naturelles
Marais du Syl
Marais du Syl
- Communs des eaux douces (dans et autour des fleuves, rivières, lacs, mares, marécages, zones humides…)
- Terres et mers d'Europe
Source :
https://www.estuaire-sillon.fr/fileadmin/medias/Telechargements/environnement/2019/44080_1714_fiche_syndicat_marais.pdf
- Biodiversité (conservation, maintien, création par les pratiques et les usages…)
- Conservation des eaux (potables, perméabilité des sols, recharge des nappes, ralentissement des eaux pluviales, lutte contre l'érosion et les inondations…)
- Autonomie alimentaire (relocalisation de productions, préservation de semences, de végétaux, d'animaux rustiques résistants…)
- Cadre de vie (fabrique de beaux paysages, patrimoines et cadres de vie de qualité, accueil, tourisme soutenable, récréation, ressourcement et activités économiques liées…)
- Économie (création et maintien d'activités économiques et d'emplois non-délocalisables…)
Préservation de la diversité biologique (habitats et espèces rares inféodés aux milieux humides)
- Vivant (communauté active d'usagers)
- Marais doux, marécages, zones humides
- Prairies de fauche, prairies humides, autres prairies
- Bocages, haies et réseaux de haies
- Réseaux d'irrigation, de drainage, de canaux, de fossés
- Elevage - mammifères (vaches, chèvres, moutons…)
- Ressource “sauvage” (non cultivée) (chasse, capture…)
Marais indivis de Grande Brière Mottière
Marais indivis de Grande Brière Mottière
- Terres et mers du Pacifique
- Commission syndicale (commun cogéré par plusieurs personnes publiques)
- Biodiversité (conservation, maintien, création par les pratiques et les usages…)
- Conservation des eaux (potables, perméabilité des sols, recharge des nappes, ralentissement des eaux pluviales, lutte contre l'érosion et les inondations…)
- Autonomie alimentaire (relocalisation de productions, préservation de semences, de végétaux, d'animaux rustiques résistants…)
- Santé et soins (liés à l'alimentation, aux plantes, santé des habitats et des écosystèmes, bienfaits sur la santé mentale…)
- Cadre de vie (fabrique de beaux paysages, patrimoines et cadres de vie de qualité, accueil, tourisme soutenable, récréation, ressourcement et activités économiques liées…)
- Cohésion sociale (maintien de communautés rurales, citoyenneté, démocratie locale, transmission de la connaissance des lieux, des milieux, des risques…)
- Vivant (communauté active d'usagers)
- Menacé (risque d'enclosure, d'aliénation, de destruction)
Marais indivis de Grande Brière Mottière
Marais indivis de Grande Brière Mottière
Marais indivis de Grande Brière Mottière
- Communs des eaux douces (dans et autour des fleuves, rivières, lacs, mares, marécages, zones humides…)
- Terres et mers d'Europe
- Biodiversité (conservation, maintien, création par les pratiques et les usages…)
- Conservation des eaux (potables, perméabilité des sols, recharge des nappes, ralentissement des eaux pluviales, lutte contre l'érosion et les inondations…)
- Autonomie alimentaire (relocalisation de productions, préservation de semences, de végétaux, d'animaux rustiques résistants…)
- Santé et soins (liés à l'alimentation, aux plantes, santé des habitats et des écosystèmes, bienfaits sur la santé mentale…)
- Cadre de vie (fabrique de beaux paysages, patrimoines et cadres de vie de qualité, accueil, tourisme soutenable, récréation, ressourcement et activités économiques liées…)
- Cohésion sociale (maintien de communautés rurales, citoyenneté, démocratie locale, transmission de la connaissance des lieux, des milieux, des risques…)
- Économie (création et maintien d'activités économiques et d'emplois non-délocalisables…)
- Vivant (communauté active d'usagers)
- Montée en puissance du poids des collectivités territoriales dans la gestion du milieu, perçue comme une désappropriation par certains usagers
- Marais doux, marécages, zones humides
- Prairies de fauche, prairies humides, autres prairies
- Elevage - mammifères (vaches, chèvres, moutons…)
- Matériaux (bois d’oeuvre, pour la construction, bois, paille, terre, torchis, pierre, galets…)
- Ressource “sauvage” (non cultivée) (chasse, capture…)
- Ressource “sauvage” (non cultivée) (pêche, pêche à pied…)
Marais poitevin
Marais poitevin
- Marais
- Zone humide
- Nappe phréatique
- Zone naturelle protégée
- Réserve de biodiversité
"Le fonctionnement global du Marais poitevin, peut se distinguer par différentes entités paysagères et hydrauliques suivantes :
Les marais mouillés et les fonds de vallées humides (32 200 hectares) : Ce sont des zones inondables par crue ou par engorgement en période pluvieuse. Le réseau de canaux est souvent assez dense, ainsi qu’avec de nombreux arbres plantés pour fixer les berges. C'est dans ces « marais mouillés », que se situe la plus grande partie des marais communaux3, vastes unités de prairies naturelles humides exploitées en pâturage collectif, pour certaines depuis le xe siècle.
Les marais desséchés (46 800 hectares) : Ils sont protégés des inondations et des marées par un réseau de digues (ou levées) avec des ouvrages hydrauliques appelés bondes à la limite entre le marais desséché et marais mouillé.
Les marais intermédiaires (18 700 hectares) : Marais partiellement protégés des inondations, ils sont à rapprocher des marais desséchés.
Les milieux littoraux (9 700 hectares) : milieux soumis à l'influence des marées, composés des mizottes, des vasières, des dunes et sables
Les îlots calcaires internes (4 600 hectares) : anciennes terres hautes qui formaient des îles lorsque l'océan occupait le Golfe du Poitou." (source Wikipedia)
Le Marais desséché a d'abord été aménagé par les abbayes du xe siècle au xve siècle, puis jusqu'au XVIIIe siècle sous l'impulsion d'Henri IV, en lien avec des huguenots originaires des Pays Bas dont l'ingéniosité en matière d'ouvrage hydrauliques et de polders n'est plus a démontrer. C'est à cette époque (XVIIe siècle), sous l'impulsion de l'ingénieur hydraulique du Roi que les premiers syndicats de marais sont constitués pour entretenir les nombreux ouvrages, digues et canaux. Le marais mouillé, mieux connu sous le nom de "la Venise Verte" est lui aménagé au XIXe siècle sous l'impulsion de Napoléon 1er (en cours d'écriture)
L'histoire complexe et longue de la constitution de ce marais est très clairement détaillée ici sur sa fiche Wikipedia
De nombreux conflits sont notables au cours de l'histoire des marais.
Le dernier en cours deffraie actuellement la chronique avec les craintes d'enclosure de la ressource en eau autour des projets de "réserves de substitutions" (ainsi nommées par leurs promoteurs) ou encore "mégabassines" (ainsi nommées par leurs détracteurs) en amont du Marais sur le bassin versant de la Sèvre Niortaise (Lire ici par exemple ou encore écouter ici)
Marais Poitevin
Marais Poitevin
- Communs des eaux douces (dans et autour des fleuves, rivières, lacs, mares, marécages, zones humides…)
- Communs des littoraux et des mers (dans la mer ou en bord de mer, que ce soit dans un marais, des dunes, des falaises, des forêts rétro-littorales…)
- Terres et mers d'Europe
- Conservation des forêts (stockage de carbone, prévention des incendies, qualité de l'air…)
- Sources d'énergies renouvelables (biomasse, petite hydro-électricité, moulins…)
- Biodiversité (conservation, maintien, création par les pratiques et les usages…)
- Conservation des eaux (potables, perméabilité des sols, recharge des nappes, ralentissement des eaux pluviales, lutte contre l'érosion et les inondations…)
- Défense du littoral et de la mer (trait de côte, atténuation des submersions, des houles, de la salinisation des sols, biodiversité marine…)
- Autonomie alimentaire (relocalisation de productions, préservation de semences, de végétaux, d'animaux rustiques résistants…)
- Cadre de vie (fabrique de beaux paysages, patrimoines et cadres de vie de qualité, accueil, tourisme soutenable, récréation, ressourcement et activités économiques liées…)
- Cohésion sociale (maintien de communautés rurales, citoyenneté, démocratie locale, transmission de la connaissance des lieux, des milieux, des risques…)
- Économie (création et maintien d'activités économiques et d'emplois non-délocalisables…)
- Vivant (communauté active d'usagers)
- Menacé (risque d'enclosure, d'aliénation, de destruction)
- Marais doux, marécages, zones humides
- Marais salants, salés
- Prairies de fauche, prairies humides, autres prairies
- Bocages, haies et réseaux de haies
- Réseaux d'irrigation, de drainage, de canaux, de fossés
- Sources, nappes d'eaux souterraines, phréatiques, alluviales
- Energie du bois et végétaux (affouage, bois de chauffe, biomasse, petite méthanisation…)
- Elevage - mammifères (vaches, chèvres, moutons…)
Mares du Nord Grande Terre en Guadeloupe
Mares du Nord Grande Terre en Guadeloupe
- Communs des eaux douces (dans et autour des fleuves, rivières, lacs, mares, marécages, zones humides…)
- Terres et mers d'Amérique
- Biodiversité (conservation, maintien, création par les pratiques et les usages…)
- Conservation des eaux (potables, perméabilité des sols, recharge des nappes, ralentissement des eaux pluviales, lutte contre l'érosion et les inondations…)
- Autonomie alimentaire (relocalisation de productions, préservation de semences, de végétaux, d'animaux rustiques résistants…)
- Cadre de vie (fabrique de beaux paysages, patrimoines et cadres de vie de qualité, accueil, tourisme soutenable, récréation, ressourcement et activités économiques liées…)
- Cohésion sociale (maintien de communautés rurales, citoyenneté, démocratie locale, transmission de la connaissance des lieux, des milieux, des risques…)
- Économie (création et maintien d'activités économiques et d'emplois non-délocalisables…)
- Zones humides essentielles pour la biodiversité et les oiseaux notamment
- Agriculture extensive d’élevage de qualité sur les savanes, aujourd’hui concurrencée par l'urbanisation et aussi par une agriculture intensive de productions maraîchères de contre-saison envoyés par avion en Europe
- Paysages remarquables, qualité du cadre de vie
- Préservation des sols agricoles et naturels de l’urbanisation
- Jouent un rôle de mise en évidence du risque lié aux sécheresses, cohésion sociale
- Émergent (mobilisation locale en cours)
- Vivant (communauté active d'usagers)
- Menacé (risque d'enclosure, d'aliénation, de destruction)
- Marais doux, marécages, zones humides
- Lagunes, deltas, mangroves
- Prairies de fauche, prairies humides, autres prairies
- Réseaux d'irrigation, de drainage, de canaux, de fossés
- Elevage - mammifères (vaches, chèvres, moutons…)
- Ressource “sauvage” (non cultivée) (chasse, capture…)
- Ressource “sauvage” (non cultivée) (pêche, pêche à pied…)
Mares du sud de la Martinique
Mares du sud de la Martinique
- Communs des eaux douces (dans et autour des fleuves, rivières, lacs, mares, marécages, zones humides…)
- Terres et mers d'Amérique
- Biodiversité (conservation, maintien, création par les pratiques et les usages…)
- Conservation des eaux (potables, perméabilité des sols, recharge des nappes, ralentissement des eaux pluviales, lutte contre l'érosion et les inondations…)
- Autonomie alimentaire (relocalisation de productions, préservation de semences, de végétaux, d'animaux rustiques résistants…)
- Cadre de vie (fabrique de beaux paysages, patrimoines et cadres de vie de qualité, accueil, tourisme soutenable, récréation, ressourcement et activités économiques liées…)
- Cohésion sociale (maintien de communautés rurales, citoyenneté, démocratie locale, transmission de la connaissance des lieux, des milieux, des risques…)
- Économie (création et maintien d'activités économiques et d'emplois non-délocalisables…)
- Zones humides essentielles pour la biodiversité et les oiseaux, participe à la résilience de ce territoire en cas de grosse sécheresse comme celle de l'été 2021
- Agriculture extensive d’élevage de qualité sur les savanes
- Paysages remarquables et classés des savanes, de l’étang et du littoral, préservation des sols agricoles et naturels de l’urbanisation, tourisme durable
- Menacé (risque d'enclosure, d'aliénation, de destruction)
- Marais doux, marécages, zones humides
- Prairies de fauche, prairies humides, autres prairies
- Réseaux d'irrigation, de drainage, de canaux, de fossés
- Elevage - mammifères (vaches, chèvres, moutons…)
- Ressource “sauvage” (non cultivée) (chasse, capture…)
- Ressource “sauvage” (non cultivée) (pêche, pêche à pied…)
- Diversité biologique (semences, semences paysannes, variétés, cultivars, animaux rustiques…)
Mas Bertin
Mas Bertin
- Section de communes
Mas Bertin
Mas Bertin
Mas Pugues
Mas Pugues
- Section de communes
Mas Pugues
Mas Pugues
Massif préservé du pays de Massat
Massif préservé du pays de Massat
- Communs de montagnes et de piémonts (montagnes et reliefs au pied des montagnes…)
- Terres et mers d'Europe
- Date d’acquisition : Juin 2021 (0,66 ha) et Février 2022 (19,67 ha)
- Propriété actuelle de Forêts préservées : 20,33 hectares
- Localisation : pays de Massat, Ariège. Ensemble forestier incluant étage montagnard (forestier) et subalpin (minéral) sur une superficie totale d’environ 600 hectares
- Type de forêt : hêtraie, hêtraie sapinière en partie haute, majoritairement en versant nord. 2 « patchs » de vieilles forêts pyrénéennes ont été inventoriés à l’intérieur du site.
- Altitude : entre 900 et plus de 1700 mètres
- Chasse : Les conditions d’accessibilité y rendent la chasse difficile : pas de pistes forestières, pas de sentiers balisés, très fortes pentes par endroits, ravines. Quelques battues au sanglier annuelles existent dans le bas des Biens Non Délimités. De manière occasionnelle, des chasseurs à l’isard isolés peuvent traverser la zone. A noter que la possession de lots dans des Biens Non Délimités (BND) ne permet pas de modifier les règles de chasse (pour plus d’informations sur les BND, voir ci-dessous).
La quasi totalité de ces espaces forestiers, jusqu’à l’étage minéral, ne présente aucune trace d’exploitation (aucune souche ne témoigne d’une exploitation dans les dernières décennies). Il n’existe aucune pénétration par des routes ou pistes forestières. La dernière exploitation connue a été réalisée par un propriétaire forestier dans une zone ciblée, dans les années 1962-63. Aucune zone de pâturage n’est concernée.
Très sauvage, particulièrement riche en faune et flore autochtone, l’étage montagnard (de la forêt) est majoritairement composé de hêtres dans sa partie basse, puis de hêtres et de sapins dans sa partie haute. Il est traversé par des ruisseaux, des éboulis, des milieux ouverts naturels, des zones humides.
Il existe une vieille forêt pyrénéenne d’environ 2 hectares, inventoriée et validée par le GEVFP (Groupe d’Etudes des Vieilles Forêts Pyrénéennes), dans l’un des BND où Forêts préservées a acquis un lot. C’est une hêtraie sapinière sans trace d’exploitation. On y trouve la Buxbaumia viridis, une mousse protégée au niveau national qui a besoin d’un réservoir de bois mort en décomposition avancée pour s’installer.
C’est un site de reproduction pour le Grand tétras. Le lieu est très peu abrouti par les cervidés, qui ailleurs, taillent ras les myrtilliers dans de nombreux massifs en montagne, empêchant les femelles de Tétras d’y couver (elles s’y cachent des prédateurs comme la martre et le renard). Ici, les myrtilliers font 40 à 60 cms de haut, c’est idéal.
L’isard fréquente ces pentes (observation visuelle). Un chat forestier a été vu et identifié fin avril 21 par l’un de nos membres.
Massignieu-Champdossin
Massignieu-Champdossin
- Section de communes
Massignieu-Champdossin
Massignieu-Champdossin
Matafelon
Matafelon
- Section de communes
Matafelon
Matafelon
Meuillat-Et-Charmines
Meuillat-Et-Charmines
- Section de communes
Meuillat-Et-Charmines
Meuillat-Et-Charmines
Meyriat
Meyriat
- Section de communes
Meyriat
Meyriat
Meyrieu
Meyrieu
- Section de communes
Meyrieu
Meyrieu
Moinans
Moinans
- Section de communes
Moinans
Moinans
Montcrozier
Montcrozier
- Section de communes
Montcrozier
Montcrozier
Monteilloux
Monteilloux
- Section de communes
Monteilloux
Monteilloux
Montpellaz
Montpellaz
- Section de communes
Montpellaz
Montpellaz
Morgnieu
Morgnieu
- Section de communes
Morgnieu
Morgnieu
Moux
Moux
- Section de communes
Moux
Moux
Musin
Musin
- Section de communes
Musin
Musin
Nant
Nant
- Section de communes
Nant
Nant
Nappe alluviale de l’Allier
Nappe alluviale de l’Allier
- Nappe phréatique
Nattages
Nattages
- Section de communes
Nattages
Nattages
Naz-Dessus
Naz-Dessus
- Section de communes
Naz-Dessus
Naz-Dessus
Nivollet
Nivollet
- Section de communes
Nivollet
Nivollet
- Section de communes
Nivollet
Nivollet
Nivollet
Nivollet
Noblens
Noblens
- Section de communes
Noblens
Noblens
Notre-Dame-des-Landes
Notre-Dame-des-Landes
- Zone humide
Olivier Jaspart
Olivier Jaspart
Juriste en droit public, je développe la théorie du droit administratif des biens communs
Orbagnoux
Orbagnoux
- Section de communes
Orbagnoux
Orbagnoux
pamiers
Pamiers
Pamiers
- Émergent : prise de conscience collective de l'existence d'un commun
Parlement de la Mangrove de Martinique
Parlement de la Mangrove de Martinique
- Communs des littoraux et des mers (dans la mer ou en bord de mer, que ce soit dans un marais, des dunes, des falaises, des forêts rétro-littorales…)
- Terres et mers d'Amérique
- Informel, basé sur des règles d'usages orales
- Autre
- Public et privé
- Informel
- Réglementé (bail, convention, traité, us & coutumes…)
- Conservation des forêts (stockage de carbone, prévention des incendies, qualité de l'air…)
- Biodiversité (conservation, maintien, création par les pratiques et les usages…)
- Défense du littoral et de la mer (trait de côte, atténuation des submersions, des houles, de la salinisation des sols, biodiversité marine…)
- Autonomie alimentaire (relocalisation de productions, préservation de semences, de végétaux, d'animaux rustiques résistants…)
- Santé et soins (liés à l'alimentation, aux plantes, santé des habitats et des écosystèmes, bienfaits sur la santé mentale…)
- Cadre de vie (fabrique de beaux paysages, patrimoines et cadres de vie de qualité, accueil, tourisme soutenable, récréation, ressourcement et activités économiques liées…)
- Cohésion sociale (maintien de communautés rurales, citoyenneté, démocratie locale, transmission de la connaissance des lieux, des milieux, des risques…)
- Économie (création et maintien d'activités économiques et d'emplois non-délocalisables…)
- assure des fonctions écologiques et des services écosystémiques primordiaux qui en font un véritable pilier de résilience pour le territoire martiniquais et pour le Monde
- protection du retrait du trait de côte, houles cycloniques, tsunamis
- filtration et clarification des eaux pluviales pour les récifs qui ne supportent pas la turbidité, écosystèmes de transition et écotones majeurs entre les écosystèmes terrestres et marins, récifaux
- lieu de vie et nurseries de nombreuses espèces, y compris les oiseaux migrateurs, avec des zone importantes pour eux (miroirs d'eau des marigots)
- fait partie des milieux ayant la plus grande capacité de stockage de carbone au Monde (grâce aux crabes qui enfouissent la matière organique entre autres...)
- est le lieu de naissance de la majorité des espèces halieutiques de la mer (lien mangrove - mer, production de phyto et de zoo plancton, source de ressources halieutiques pour la pêche traditionnelle en mer)
- est un lieu ressource en termes d'espèces traditionnellement pêchées ou chassées (crabes, poissons, palourdes ...)
- est un paysage et un cadre de vie de très grande qualité pour les riverains, promeneurs, touristes...
- Émergent (mobilisation locale en cours)
- Vivant (communauté active d'usagers)
- Menacé (risque d'enclosure, d'aliénation, de destruction)
- vivant, car les pratiques traditionnelles collectives existent de longue date,
- émergeant, car les diverses communautés d'usagers sont en train de se structurer pour se constituer en interlocuteurs reconnus, pour contribuer à résoudre des conflits d'usage existant entre communautés, mais aussi avec l'amont ou l'aval et pour contribuer à réparer les atteintes actuelles aux mangroves,
- menacé par diverses dynamiques et conflits d'usages en particulier :
- - l'artificialisation des sols,
- - le défrichement,
- - les constructions,
- - les modifications des circulations d'eau en quantité et qualité dans les bassins versants,
- - l'industrialisation de l'agriculture,
- - les pollutions diverses à macro déchets (vieil électroménager, véhicules, plastiques) et engrais, herbicides et pesticides dont le terrible chlordécone,
- - pour les plus récentes, les algues sargasses
- - ...
- Marais doux, marécages, zones humides
- Marais salants, salés
- Lagunes, deltas, mangroves
- Réseaux d'irrigation, de drainage, de canaux, de fossés
- Forêts, boisements, bosquets
- Ressource “sauvage” (non cultivée) (chasse, capture…)
- Ressource “sauvage” (non cultivée) (pêche, pêche à pied…)
- Miel de mangrove très recherché, pratique reconnue des gestionnaires publics qui la soutiennent (AOT pour installer des ruches par exemple)
- Charbon et bois d'oeuvre (pratiques presques disparues pour des raisons de préservation de la mangrove aujourd'hui bien comprises par les usagers et riverains)
- Anciennes pratiques d'élevage de moutons de prés salés autrefois très recherchées (Agneau de Pâques des Salines), aujourd'hui disparues
- Autres pratiques confidentielles :
- "Bains démarrés" (bains en mangrove pour calmer et soigner)
- petits élevages boeufs, cochons, en bordure de mangrove
- ...
Perro Et Villette
Perro Et Villette
- Section de communes
Perro Et Villette
Perro Et Villette
Peyzieu
Peyzieu
- Section de communes
Peyzieu
Peyzieu
Pollet
Pollet
- Section de communes
Pommier
Pommier
- Section de communes
Pommier
Pommier
- Section de communes
Pommier
Pommier
Pommier
Pommier
Proulieu
Proulieu
- Section de communes
Proulieu
Proulieu
Prud'homies de la Méditerranée
Prud'homies de la Méditerranée
- Communs des littoraux et des mers (dans la mer ou en bord de mer, que ce soit dans un marais, des dunes, des falaises, des forêts rétro-littorales…)
- Terres et mers d'Europe
Le contexte de la pêche en Méditerranée est unique et subit depuis trente ans des bouleversements importants, entre politiques européennes orientées, surexploitation des ressources et disparition de la petite pêche.
Les Prud’homies, organisations de pêcheurs professionnels dont les premières traces datent du Xe siècle, sont garants de la régulation de la pêche côtière. À la fois communautés de petits pêcheurs, organisations professionnelles et cadres réglementaires des activités, les Prud’homies sont partie ancestrale de la vie du littoral méditerranéen.
Face aux enjeux de surexploitations des ressources halieutiques et à la nécessité d’une politique et gestion moderne, la légitimité de cette institution séculaire est de plus en plus remise en question. Les processus de prises de décision, l'étendue de leur zone de compétence ou encore leur composition monolithique dépeignent aujourd'hui l'image d'une organisation dépassée et en décalage avec les systèmes de gestion européens.
Néanmoins, les Prud’homies sont garantes d'une philosophie de partage de biens communs, représentée par les « petits métiers ». Elles apparaissent comme des acteurs irremplaçables pour une gestion durable et responsable des ressources côtières.
Cette gestion, exclusive, territoriale et en concordance avec les spécificités du contexte méditerranéen est opposée au système de gestion européen productiviste basé sur des droits de propriété et non d'usage. Pourtant, la PCP et de nombreux organes institutionnels internationaux plébiscitent dans leurs directives, des systèmes innovants de cogestion locale. Cependant, les structures de régulation globales n'ont pas l'air au service d'un renouveau des Prud'homies, alors que ces institutions ancestrales semblent avoir un besoin criant d'accompagnement pour se réinventer dans un schéma de gouvernance durable.
Régies jusqu’à nos jours par le décret, à peine modifié, du 19 novembre 1859 sur la police de la pêche dans le cinquième arrondissement maritime de Toulon, les prud’homies ont des caractères originaux. Institutions ambiguës et hybrides, les prud’homies de pêche constituent à la fois une communauté professionnelle et une juridiction de pêcheurs. À leurs têtes, des prud'hommes pêcheurs élus par leurs pairs, exercent, sous le contrôle de l’administration maritime, une pluralité de pouvoirs : réglementaires, disciplinaires, de police et judiciaires, souvent exorbitants du droit et de la procédure communs. Ils connaissent parfaitement les territoires de pêche et effectuent une régulation économique et écologique de la pêche en mer Méditerranée. À ce titre, ils apparaissent comme des acteurs importants de la protection des espaces maritimes et de la préservation des ressources halieutiques. Leur histoire et leur statut rendent compte de leur évolution face aux transformations de la pêche maritime.
Toutefois, en ce que les prud'homies sont soumises à la tutelle de l'autorité administrative, elles ne sont pas considérées en droit de l'Union européenne comme des juridictions au sens de l'article 234 du Traité instituant la Communauté européenne1.
Depuis la décision du Conseil d'Etat du 18 juillet 2022, N° 459789 ( https://www.conseil-etat.fr/fr/arianeweb/CE/decision/2022-07-18/459789), les prud'homies sont des organismes “à caractère professionnel, administrées par ces derniers en vue de défendre leurs intérêts et de discipliner l'exercice de leur profession”. Elles ne sont pas des établissements publics. Il s'agit de personnes morales de droit privé.
- Biodiversité (conservation, maintien, création par les pratiques et les usages…)
- Défense du littoral et de la mer (trait de côte, atténuation des submersions, des houles, de la salinisation des sols, biodiversité marine…)
- Cohésion sociale (maintien de communautés rurales, citoyenneté, démocratie locale, transmission de la connaissance des lieux, des milieux, des risques…)
- Économie (création et maintien d'activités économiques et d'emplois non-délocalisables…)
- Vivant (communauté active d'usagers)
Prud'hommies de pêcheurs de la côte méditerranéenne
Prud'hommies de pêcheurs de la côte méditerranéenne
- Terres et mers de l'Océan Indien
Elles sont nées en France au Moyen-Âge sur les côtes méditerranéennes en Provence et ont su se maintenir malgré les changements de régime tout en étant encadrées par le pouvoir central. Régies jusqu’à nos jours par le décret, à peine modifié, du 19 novembre 1859 sur la police de la pêche dans le cinquième arrondissement maritime de Toulon, les prud’homies ont des caractères originaux. Institutions ambiguës et hybrides, les prud’homies de pêche constituent à la fois une communauté professionnelle et une juridiction de pêcheurs. À leurs têtes, des prud’hommes pêcheurs élus par leurs pairs, exercent, sous le contrôle de l’administration maritime, une pluralité de pouvoirs : réglementaires, disciplinaires, de police et judiciaires souvent exorbitants du droit et de la procédure communs. Ils connaissent parfaitement les territoires de pêches et effectuent une régulation économique et écologique de la pêche en Méditerranée. À ce titre, ils apparaissent comme des acteurs importants de la protection des espaces maritimes et de la préservation des ressources halieutiques. Leur histoire et leur statut rendent compte de leur évolution face aux transformations de la pêche maritime. Cette évolution conduit à s’interroger sur l’effectivité de leur rôle face aux autres organisations de pêches maritimes, à la fois nationales et européennes.
- Biodiversité (conservation, maintien, création par les pratiques et les usages…)
- Cohésion sociale (maintien de communautés rurales, citoyenneté, démocratie locale, transmission de la connaissance des lieux, des milieux, des risques…)
- Vivant (communauté active d'usagers)
Prud'hommies de pêcheurs de la côte méditerranéenne
Prud’homies de pêche d Ajaccio
Prud’homies de pêche d Ajaccio
- Communs des littoraux et des mers (dans la mer ou en bord de mer, que ce soit dans un marais, des dunes, des falaises, des forêts rétro-littorales…)
- Terres et mers d'Europe
Depuis la décision du Conseil d'Etat du 18 juillet 2022, N° 459789 ( https://www.conseil-etat.fr/fr/arianeweb/CE/decision/2022-07-18/459789), les prud'homies sont des organismes “à caractère professionnel, administrées par ces derniers en vue de défendre leurs intérêts et de discipliner l'exercice de leur profession”. Elles ne sont pas des établissements publics. Il s'agit de personnes morales de droit privé.
- Biodiversité (conservation, maintien, création par les pratiques et les usages…)
- Défense du littoral et de la mer (trait de côte, atténuation des submersions, des houles, de la salinisation des sols, biodiversité marine…)
- Autonomie alimentaire (relocalisation de productions, préservation de semences, de végétaux, d'animaux rustiques résistants…)
- Cohésion sociale (maintien de communautés rurales, citoyenneté, démocratie locale, transmission de la connaissance des lieux, des milieux, des risques…)
- Économie (création et maintien d'activités économiques et d'emplois non-délocalisables…)
- Menacé (risque d'enclosure, d'aliénation, de destruction)
années telles que : le manque d’engagement des pêcheurs, l’évolution du rôle du
prud'homme, le faible renouvellement générationnel, l’apparition de nouveaux usages
maritimes et la perte de la transmission des savoirs traditionnels.
Prud’homies de pêche d Agde
Prud’homies de pêche d Agde
- Communs des littoraux et des mers (dans la mer ou en bord de mer, que ce soit dans un marais, des dunes, des falaises, des forêts rétro-littorales…)
- Terres et mers d'Europe
Depuis la décision du Conseil d'Etat du 18 juillet 2022, N° 459789 ( https://www.conseil-etat.fr/fr/arianeweb/CE/decision/2022-07-18/459789), les prud'homies sont des organismes “à caractère professionnel, administrées par ces derniers en vue de défendre leurs intérêts et de discipliner l'exercice de leur profession”. Elles ne sont pas des établissements publics. Il s'agit de personnes morales de droit privé.
- Biodiversité (conservation, maintien, création par les pratiques et les usages…)
- Défense du littoral et de la mer (trait de côte, atténuation des submersions, des houles, de la salinisation des sols, biodiversité marine…)
- Autonomie alimentaire (relocalisation de productions, préservation de semences, de végétaux, d'animaux rustiques résistants…)
- Cohésion sociale (maintien de communautés rurales, citoyenneté, démocratie locale, transmission de la connaissance des lieux, des milieux, des risques…)
- Économie (création et maintien d'activités économiques et d'emplois non-délocalisables…)
- Menacé (risque d'enclosure, d'aliénation, de destruction)
Prud’homies de pêche de Bandol
Prud’homies de pêche de Bandol
- Communs des littoraux et des mers (dans la mer ou en bord de mer, que ce soit dans un marais, des dunes, des falaises, des forêts rétro-littorales…)
- Terres et mers d'Europe
Depuis la décision du Conseil d'Etat du 18 juillet 2022, N° 459789 ( https://www.conseil-etat.fr/fr/arianeweb/CE/decision/2022-07-18/459789), les prud'homies sont des organismes “à caractère professionnel, administrées par ces derniers en vue de défendre leurs intérêts et de discipliner l'exercice de leur profession”. Elles ne sont pas des établissements publics. Il s'agit de personnes morales de droit privé.
- Biodiversité (conservation, maintien, création par les pratiques et les usages…)
- Défense du littoral et de la mer (trait de côte, atténuation des submersions, des houles, de la salinisation des sols, biodiversité marine…)
- Autonomie alimentaire (relocalisation de productions, préservation de semences, de végétaux, d'animaux rustiques résistants…)
- Cohésion sociale (maintien de communautés rurales, citoyenneté, démocratie locale, transmission de la connaissance des lieux, des milieux, des risques…)
- Économie (création et maintien d'activités économiques et d'emplois non-délocalisables…)
- Menacé (risque d'enclosure, d'aliénation, de destruction)
années telles que : le manque d’engagement des pêcheurs, l’évolution du rôle du
prud'homme, le faible renouvellement générationnel, l’apparition de nouveaux usages
maritimes et la perte de la transmission des savoirs traditionnels.
Prud’homies de pêche de Bastia
Prud’homies de pêche de Bastia
- Communs des littoraux et des mers (dans la mer ou en bord de mer, que ce soit dans un marais, des dunes, des falaises, des forêts rétro-littorales…)
- Terres et mers d'Europe
Depuis la décision du Conseil d'Etat du 18 juillet 2022, N° 459789 ( https://www.conseil-etat.fr/fr/arianeweb/CE/decision/2022-07-18/459789), les prud'homies sont des organismes “à caractère professionnel, administrées par ces derniers en vue de défendre leurs intérêts et de discipliner l'exercice de leur profession”. Elles ne sont pas des établissements publics. Il s'agit de personnes morales de droit privé.
- Biodiversité (conservation, maintien, création par les pratiques et les usages…)
- Défense du littoral et de la mer (trait de côte, atténuation des submersions, des houles, de la salinisation des sols, biodiversité marine…)
- Autonomie alimentaire (relocalisation de productions, préservation de semences, de végétaux, d'animaux rustiques résistants…)
- Cohésion sociale (maintien de communautés rurales, citoyenneté, démocratie locale, transmission de la connaissance des lieux, des milieux, des risques…)
- Économie (création et maintien d'activités économiques et d'emplois non-délocalisables…)
- Menacé (risque d'enclosure, d'aliénation, de destruction)
années telles que : le manque d’engagement des pêcheurs, l’évolution du rôle du
prud'homme, le faible renouvellement générationnel, l’apparition de nouveaux usages
maritimes et la perte de la transmission des savoirs traditionnels.
Prud’homies de pêche de Bonifacio
Prud’homies de pêche de Bonifacio
- Communs des littoraux et des mers (dans la mer ou en bord de mer, que ce soit dans un marais, des dunes, des falaises, des forêts rétro-littorales…)
- Terres et mers d'Europe
Depuis la décision du Conseil d'Etat du 18 juillet 2022, N° 459789 ( https://www.conseil-etat.fr/fr/arianeweb/CE/decision/2022-07-18/459789), les prud'homies sont des organismes “à caractère professionnel, administrées par ces derniers en vue de défendre leurs intérêts et de discipliner l'exercice de leur profession”. Elles ne sont pas des établissements publics. Il s'agit de personnes morales de droit privé.
- Biodiversité (conservation, maintien, création par les pratiques et les usages…)
- Défense du littoral et de la mer (trait de côte, atténuation des submersions, des houles, de la salinisation des sols, biodiversité marine…)
- Autonomie alimentaire (relocalisation de productions, préservation de semences, de végétaux, d'animaux rustiques résistants…)
- Cohésion sociale (maintien de communautés rurales, citoyenneté, démocratie locale, transmission de la connaissance des lieux, des milieux, des risques…)
- Économie (création et maintien d'activités économiques et d'emplois non-délocalisables…)
- Menacé (risque d'enclosure, d'aliénation, de destruction)
années telles que : le manque d’engagement des pêcheurs, l’évolution du rôle du
prud'homme, le faible renouvellement générationnel, l’apparition de nouveaux usages
maritimes et la perte de la transmission des savoirs traditionnels.
Prud’homies de pêche de Cagnes-sur-Mer
Prud’homies de pêche de Cagnes-sur-Mer
- Communs des littoraux et des mers (dans la mer ou en bord de mer, que ce soit dans un marais, des dunes, des falaises, des forêts rétro-littorales…)
- Terres et mers d'Europe
Depuis la décision du Conseil d'Etat du 18 juillet 2022, N° 459789 ( https://www.conseil-etat.fr/fr/arianeweb/CE/decision/2022-07-18/459789), les prud'homies sont des organismes “à caractère professionnel, administrées par ces derniers en vue de défendre leurs intérêts et de discipliner l'exercice de leur profession”. Elles ne sont pas des établissements publics. Il s'agit de personnes morales de droit privé.
- Biodiversité (conservation, maintien, création par les pratiques et les usages…)
- Défense du littoral et de la mer (trait de côte, atténuation des submersions, des houles, de la salinisation des sols, biodiversité marine…)
- Autonomie alimentaire (relocalisation de productions, préservation de semences, de végétaux, d'animaux rustiques résistants…)
- Cohésion sociale (maintien de communautés rurales, citoyenneté, démocratie locale, transmission de la connaissance des lieux, des milieux, des risques…)
- Économie (création et maintien d'activités économiques et d'emplois non-délocalisables…)
- Menacé (risque d'enclosure, d'aliénation, de destruction)
années telles que : le manque d’engagement des pêcheurs, l’évolution du rôle du
prud'homme, le faible renouvellement générationnel, l’apparition de nouveaux usages
maritimes et la perte de la transmission des savoirs traditionnels.
Prud’homies de pêche de Calvi - Ile Rousse
Prud’homies de pêche de Calvi - Ile Rousse
- Communs des littoraux et des mers (dans la mer ou en bord de mer, que ce soit dans un marais, des dunes, des falaises, des forêts rétro-littorales…)
- Terres et mers d'Europe
Depuis la décision du Conseil d'Etat du 18 juillet 2022, N° 459789 ( https://www.conseil-etat.fr/fr/arianeweb/CE/decision/2022-07-18/459789), les prud'homies sont des organismes “à caractère professionnel, administrées par ces derniers en vue de défendre leurs intérêts et de discipliner l'exercice de leur profession”. Elles ne sont pas des établissements publics. Il s'agit de personnes morales de droit privé.
- Biodiversité (conservation, maintien, création par les pratiques et les usages…)
- Défense du littoral et de la mer (trait de côte, atténuation des submersions, des houles, de la salinisation des sols, biodiversité marine…)
- Autonomie alimentaire (relocalisation de productions, préservation de semences, de végétaux, d'animaux rustiques résistants…)
- Cohésion sociale (maintien de communautés rurales, citoyenneté, démocratie locale, transmission de la connaissance des lieux, des milieux, des risques…)
- Économie (création et maintien d'activités économiques et d'emplois non-délocalisables…)
- Menacé (risque d'enclosure, d'aliénation, de destruction)
années telles que : le manque d’engagement des pêcheurs, l’évolution du rôle du
prud'homme, le faible renouvellement générationnel, l’apparition de nouveaux usages
maritimes et la perte de la transmission des savoirs traditionnels.
Prud’homies de pêche de Cannes
Prud’homies de pêche de Cannes
- Communs des littoraux et des mers (dans la mer ou en bord de mer, que ce soit dans un marais, des dunes, des falaises, des forêts rétro-littorales…)
- Terres et mers d'Europe
Depuis la décision du Conseil d'Etat du 18 juillet 2022, N° 459789 ( https://www.conseil-etat.fr/fr/arianeweb/CE/decision/2022-07-18/459789), les prud'homies sont des organismes “à caractère professionnel, administrées par ces derniers en vue de défendre leurs intérêts et de discipliner l'exercice de leur profession”. Elles ne sont pas des établissements publics. Il s'agit de personnes morales de droit privé.
- Biodiversité (conservation, maintien, création par les pratiques et les usages…)
- Défense du littoral et de la mer (trait de côte, atténuation des submersions, des houles, de la salinisation des sols, biodiversité marine…)
- Autonomie alimentaire (relocalisation de productions, préservation de semences, de végétaux, d'animaux rustiques résistants…)
- Cohésion sociale (maintien de communautés rurales, citoyenneté, démocratie locale, transmission de la connaissance des lieux, des milieux, des risques…)
- Économie (création et maintien d'activités économiques et d'emplois non-délocalisables…)
- Menacé (risque d'enclosure, d'aliénation, de destruction)
années telles que : le manque d’engagement des pêcheurs, l’évolution du rôle du
prud'homme, le faible renouvellement générationnel, l’apparition de nouveaux usages
maritimes et la perte de la transmission des savoirs traditionnels.
Prud’homies de pêche de Cassis
Prud’homies de pêche de Cassis
- Communs des littoraux et des mers (dans la mer ou en bord de mer, que ce soit dans un marais, des dunes, des falaises, des forêts rétro-littorales…)
- Terres et mers d'Europe
Depuis la décision du Conseil d'Etat du 18 juillet 2022, N° 459789 ( https://www.conseil-etat.fr/fr/arianeweb/CE/decision/2022-07-18/459789), les prud'homies sont des organismes “à caractère professionnel, administrées par ces derniers en vue de défendre leurs intérêts et de discipliner l'exercice de leur profession”. Elles ne sont pas des établissements publics. Il s'agit de personnes morales de droit privé.
- Biodiversité (conservation, maintien, création par les pratiques et les usages…)
- Défense du littoral et de la mer (trait de côte, atténuation des submersions, des houles, de la salinisation des sols, biodiversité marine…)
- Autonomie alimentaire (relocalisation de productions, préservation de semences, de végétaux, d'animaux rustiques résistants…)
- Cohésion sociale (maintien de communautés rurales, citoyenneté, démocratie locale, transmission de la connaissance des lieux, des milieux, des risques…)
- Économie (création et maintien d'activités économiques et d'emplois non-délocalisables…)
- Menacé (risque d'enclosure, d'aliénation, de destruction)
années telles que : le manque d’engagement des pêcheurs, l’évolution du rôle du
prud'homme, le faible renouvellement générationnel, l’apparition de nouveaux usages
maritimes et la perte de la transmission des savoirs traditionnels.
Prud’homies de pêche de Golfe Juan-Antibes
Prud’homies de pêche de Golfe Juan-Antibes
- Communs des littoraux et des mers (dans la mer ou en bord de mer, que ce soit dans un marais, des dunes, des falaises, des forêts rétro-littorales…)
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Depuis la décision du Conseil d'Etat du 18 juillet 2022, N° 459789 ( https://www.conseil-etat.fr/fr/arianeweb/CE/decision/2022-07-18/459789), les prud'homies sont des organismes “à caractère professionnel, administrées par ces derniers en vue de défendre leurs intérêts et de discipliner l'exercice de leur profession”. Elles ne sont pas des établissements publics. Il s'agit de personnes morales de droit privé.
- Biodiversité (conservation, maintien, création par les pratiques et les usages…)
- Défense du littoral et de la mer (trait de côte, atténuation des submersions, des houles, de la salinisation des sols, biodiversité marine…)
- Autonomie alimentaire (relocalisation de productions, préservation de semences, de végétaux, d'animaux rustiques résistants…)
- Cohésion sociale (maintien de communautés rurales, citoyenneté, démocratie locale, transmission de la connaissance des lieux, des milieux, des risques…)
- Économie (création et maintien d'activités économiques et d'emplois non-délocalisables…)
- Menacé (risque d'enclosure, d'aliénation, de destruction)
années telles que : le manque d’engagement des pêcheurs, l’évolution du rôle du
prud'homme, le faible renouvellement générationnel, l’apparition de nouveaux usages
maritimes et la perte de la transmission des savoirs traditionnels.
Prud’homies de pêche de Gruissan
Prud’homies de pêche de Gruissan
- Communs des littoraux et des mers (dans la mer ou en bord de mer, que ce soit dans un marais, des dunes, des falaises, des forêts rétro-littorales…)
- Terres et mers d'Europe
Depuis la décision du Conseil d'Etat du 18 juillet 2022, N° 459789 ( https://www.conseil-etat.fr/fr/arianeweb/CE/decision/2022-07-18/459789), les prud'homies sont des organismes “à caractère professionnel, administrées par ces derniers en vue de défendre leurs intérêts et de discipliner l'exercice de leur profession”. Elles ne sont pas des établissements publics. Il s'agit de personnes morales de droit privé.
- Biodiversité (conservation, maintien, création par les pratiques et les usages…)
- Défense du littoral et de la mer (trait de côte, atténuation des submersions, des houles, de la salinisation des sols, biodiversité marine…)
- Autonomie alimentaire (relocalisation de productions, préservation de semences, de végétaux, d'animaux rustiques résistants…)
- Cohésion sociale (maintien de communautés rurales, citoyenneté, démocratie locale, transmission de la connaissance des lieux, des milieux, des risques…)
- Économie (création et maintien d'activités économiques et d'emplois non-délocalisables…)
- Menacé (risque d'enclosure, d'aliénation, de destruction)
années telles que : le manque d’engagement des pêcheurs, l’évolution du rôle du
prud'homme, le faible renouvellement générationnel, l’apparition de nouveaux usages
maritimes et la perte de la transmission des savoirs traditionnels.
Prud’homies de pêche de La Ciotat
Prud’homies de pêche de La Ciotat
- Communs des littoraux et des mers (dans la mer ou en bord de mer, que ce soit dans un marais, des dunes, des falaises, des forêts rétro-littorales…)
- Terres et mers d'Europe
Depuis la décision du Conseil d'Etat du 18 juillet 2022, N° 459789 ( https://www.conseil-etat.fr/fr/arianeweb/CE/decision/2022-07-18/459789), les prud'homies sont des organismes “à caractère professionnel, administrées par ces derniers en vue de défendre leurs intérêts et de discipliner l'exercice de leur profession”. Elles ne sont pas des établissements publics. Il s'agit de personnes morales de droit privé.
- Biodiversité (conservation, maintien, création par les pratiques et les usages…)
- Défense du littoral et de la mer (trait de côte, atténuation des submersions, des houles, de la salinisation des sols, biodiversité marine…)
- Autonomie alimentaire (relocalisation de productions, préservation de semences, de végétaux, d'animaux rustiques résistants…)
- Cohésion sociale (maintien de communautés rurales, citoyenneté, démocratie locale, transmission de la connaissance des lieux, des milieux, des risques…)
- Économie (création et maintien d'activités économiques et d'emplois non-délocalisables…)
- Menacé (risque d'enclosure, d'aliénation, de destruction)
années telles que : le manque d’engagement des pêcheurs, l’évolution du rôle du
prud'homme, le faible renouvellement générationnel, l’apparition de nouveaux usages
maritimes et la perte de la transmission des savoirs traditionnels.
Prud’homies de pêche de la côte méditerranéenne française
Prud’homies de pêche de la côte méditerranéenne française
- Autre type de commun naturel
Prud’homies de pêche de La Seyne-sur-Mer
Prud’homies de pêche de La Seyne-sur-Mer
- Communs des littoraux et des mers (dans la mer ou en bord de mer, que ce soit dans un marais, des dunes, des falaises, des forêts rétro-littorales…)
- Terres et mers d'Europe
Depuis la décision du Conseil d'Etat du 18 juillet 2022, N° 459789 ( https://www.conseil-etat.fr/fr/arianeweb/CE/decision/2022-07-18/459789), les prud'homies sont des organismes “à caractère professionnel, administrées par ces derniers en vue de défendre leurs intérêts et de discipliner l'exercice de leur profession”. Elles ne sont pas des établissements publics. Il s'agit de personnes morales de droit privé.
- Biodiversité (conservation, maintien, création par les pratiques et les usages…)
- Défense du littoral et de la mer (trait de côte, atténuation des submersions, des houles, de la salinisation des sols, biodiversité marine…)
- Autonomie alimentaire (relocalisation de productions, préservation de semences, de végétaux, d'animaux rustiques résistants…)
- Cohésion sociale (maintien de communautés rurales, citoyenneté, démocratie locale, transmission de la connaissance des lieux, des milieux, des risques…)
- Économie (création et maintien d'activités économiques et d'emplois non-délocalisables…)
- Menacé (risque d'enclosure, d'aliénation, de destruction)
années telles que : le manque d’engagement des pêcheurs, l’évolution du rôle du
prud'homme, le faible renouvellement générationnel, l’apparition de nouveaux usages
maritimes et la perte de la transmission des savoirs traditionnels.
Prud’homies de pêche de Le Brusc
Prud’homies de pêche de Le Brusc
- Communs des littoraux et des mers (dans la mer ou en bord de mer, que ce soit dans un marais, des dunes, des falaises, des forêts rétro-littorales…)
- Terres et mers d'Europe
Depuis la décision du Conseil d'Etat du 18 juillet 2022, N° 459789 ( https://www.conseil-etat.fr/fr/arianeweb/CE/decision/2022-07-18/459789), les prud'homies sont des organismes “à caractère professionnel, administrées par ces derniers en vue de défendre leurs intérêts et de discipliner l'exercice de leur profession”. Elles ne sont pas des établissements publics. Il s'agit de personnes morales de droit privé.
- Biodiversité (conservation, maintien, création par les pratiques et les usages…)
- Défense du littoral et de la mer (trait de côte, atténuation des submersions, des houles, de la salinisation des sols, biodiversité marine…)
- Autonomie alimentaire (relocalisation de productions, préservation de semences, de végétaux, d'animaux rustiques résistants…)
- Cohésion sociale (maintien de communautés rurales, citoyenneté, démocratie locale, transmission de la connaissance des lieux, des milieux, des risques…)
- Économie (création et maintien d'activités économiques et d'emplois non-délocalisables…)
- Menacé (risque d'enclosure, d'aliénation, de destruction)
années telles que : le manque d’engagement des pêcheurs, l’évolution du rôle du
prud'homme, le faible renouvellement générationnel, l’apparition de nouveaux usages
maritimes et la perte de la transmission des savoirs traditionnels.
Prud’homies de pêche de le Lavandou
Prud’homies de pêche de le Lavandou
- Communs des littoraux et des mers (dans la mer ou en bord de mer, que ce soit dans un marais, des dunes, des falaises, des forêts rétro-littorales…)
- Terres et mers d'Europe
Depuis la décision du Conseil d'Etat du 18 juillet 2022, N° 459789 ( https://www.conseil-etat.fr/fr/arianeweb/CE/decision/2022-07-18/459789), les prud'homies sont des organismes “à caractère professionnel, administrées par ces derniers en vue de défendre leurs intérêts et de discipliner l'exercice de leur profession”. Elles ne sont pas des établissements publics. Il s'agit de personnes morales de droit privé.
- Biodiversité (conservation, maintien, création par les pratiques et les usages…)
- Défense du littoral et de la mer (trait de côte, atténuation des submersions, des houles, de la salinisation des sols, biodiversité marine…)
- Autonomie alimentaire (relocalisation de productions, préservation de semences, de végétaux, d'animaux rustiques résistants…)
- Cohésion sociale (maintien de communautés rurales, citoyenneté, démocratie locale, transmission de la connaissance des lieux, des milieux, des risques…)
- Économie (création et maintien d'activités économiques et d'emplois non-délocalisables…)
- Menacé (risque d'enclosure, d'aliénation, de destruction)
années telles que : le manque d’engagement des pêcheurs, l’évolution du rôle du
prud'homme, le faible renouvellement générationnel, l’apparition de nouveaux usages
maritimes et la perte de la transmission des savoirs traditionnels.
Prud’homies de pêche de Leucate
Prud’homies de pêche de Leucate
- Communs des littoraux et des mers (dans la mer ou en bord de mer, que ce soit dans un marais, des dunes, des falaises, des forêts rétro-littorales…)
- Terres et mers d'Europe
Depuis la décision du Conseil d'Etat du 18 juillet 2022, N° 459789 ( https://www.conseil-etat.fr/fr/arianeweb/CE/decision/2022-07-18/459789), les prud'homies sont des organismes “à caractère professionnel, administrées par ces derniers en vue de défendre leurs intérêts et de discipliner l'exercice de leur profession”. Elles ne sont pas des établissements publics. Il s'agit de personnes morales de droit privé.
- Biodiversité (conservation, maintien, création par les pratiques et les usages…)
- Défense du littoral et de la mer (trait de côte, atténuation des submersions, des houles, de la salinisation des sols, biodiversité marine…)
- Autonomie alimentaire (relocalisation de productions, préservation de semences, de végétaux, d'animaux rustiques résistants…)
- Cohésion sociale (maintien de communautés rurales, citoyenneté, démocratie locale, transmission de la connaissance des lieux, des milieux, des risques…)
- Économie (création et maintien d'activités économiques et d'emplois non-délocalisables…)
- Menacé (risque d'enclosure, d'aliénation, de destruction)
années telles que : le manque d’engagement des pêcheurs, l’évolution du rôle du
prud'homme, le faible renouvellement générationnel, l’apparition de nouveaux usages
maritimes et la perte de la transmission des savoirs traditionnels.
Prud’homies de pêche de Marseille
Prud’homies de pêche de Marseille
- Communs des littoraux et des mers (dans la mer ou en bord de mer, que ce soit dans un marais, des dunes, des falaises, des forêts rétro-littorales…)
- Terres et mers d'Europe
Depuis la décision du Conseil d'Etat du 18 juillet 2022, N° 459789 ( https://www.conseil-etat.fr/fr/arianeweb/CE/decision/2022-07-18/459789), les prud'homies sont des organismes “à caractère professionnel, administrées par ces derniers en vue de défendre leurs intérêts et de discipliner l'exercice de leur profession”. Elles ne sont pas des établissements publics. Il s'agit de personnes morales de droit privé.
- Biodiversité (conservation, maintien, création par les pratiques et les usages…)
- Défense du littoral et de la mer (trait de côte, atténuation des submersions, des houles, de la salinisation des sols, biodiversité marine…)
- Autonomie alimentaire (relocalisation de productions, préservation de semences, de végétaux, d'animaux rustiques résistants…)
- Cohésion sociale (maintien de communautés rurales, citoyenneté, démocratie locale, transmission de la connaissance des lieux, des milieux, des risques…)
- Économie (création et maintien d'activités économiques et d'emplois non-délocalisables…)
- Menacé (risque d'enclosure, d'aliénation, de destruction)
années telles que : le manque d’engagement des pêcheurs, l’évolution du rôle du
prud'homme, le faible renouvellement générationnel, l’apparition de nouveaux usages
maritimes et la perte de la transmission des savoirs traditionnels.
Prud’homies de pêche de Martigues
Prud’homies de pêche de Martigues
- Communs des littoraux et des mers (dans la mer ou en bord de mer, que ce soit dans un marais, des dunes, des falaises, des forêts rétro-littorales…)
- Terres et mers d'Europe
Depuis la décision du Conseil d'Etat du 18 juillet 2022, N° 459789 ( https://www.conseil-etat.fr/fr/arianeweb/CE/decision/2022-07-18/459789), les prud'homies sont des organismes “à caractère professionnel, administrées par ces derniers en vue de défendre leurs intérêts et de discipliner l'exercice de leur profession”. Elles ne sont pas des établissements publics. Il s'agit de personnes morales de droit privé.
- Biodiversité (conservation, maintien, création par les pratiques et les usages…)
- Défense du littoral et de la mer (trait de côte, atténuation des submersions, des houles, de la salinisation des sols, biodiversité marine…)
- Autonomie alimentaire (relocalisation de productions, préservation de semences, de végétaux, d'animaux rustiques résistants…)
- Cohésion sociale (maintien de communautés rurales, citoyenneté, démocratie locale, transmission de la connaissance des lieux, des milieux, des risques…)
- Économie (création et maintien d'activités économiques et d'emplois non-délocalisables…)
- Menacé (risque d'enclosure, d'aliénation, de destruction)
années telles que : le manque d’engagement des pêcheurs, l’évolution du rôle du
prud'homme, le faible renouvellement générationnel, l’apparition de nouveaux usages
maritimes et la perte de la transmission des savoirs traditionnels.
Prud’homies de pêche de Menton
Prud’homies de pêche de Menton
- Communs des littoraux et des mers (dans la mer ou en bord de mer, que ce soit dans un marais, des dunes, des falaises, des forêts rétro-littorales…)
- Terres et mers d'Europe
Depuis la décision du Conseil d'Etat du 18 juillet 2022, N° 459789 ( https://www.conseil-etat.fr/fr/arianeweb/CE/decision/2022-07-18/459789), les prud'homies sont des organismes “à caractère professionnel, administrées par ces derniers en vue de défendre leurs intérêts et de discipliner l'exercice de leur profession”. Elles ne sont pas des établissements publics. Il s'agit de personnes morales de droit privé.
- Biodiversité (conservation, maintien, création par les pratiques et les usages…)
- Défense du littoral et de la mer (trait de côte, atténuation des submersions, des houles, de la salinisation des sols, biodiversité marine…)
- Autonomie alimentaire (relocalisation de productions, préservation de semences, de végétaux, d'animaux rustiques résistants…)
- Cohésion sociale (maintien de communautés rurales, citoyenneté, démocratie locale, transmission de la connaissance des lieux, des milieux, des risques…)
- Économie (création et maintien d'activités économiques et d'emplois non-délocalisables…)
- Menacé (risque d'enclosure, d'aliénation, de destruction)
années telles que : le manque d’engagement des pêcheurs, l’évolution du rôle du
prud'homme, le faible renouvellement générationnel, l’apparition de nouveaux usages
maritimes et la perte de la transmission des savoirs traditionnels.
Prud’homies de pêche de Nice
Prud’homies de pêche de Nice
- Communs des littoraux et des mers (dans la mer ou en bord de mer, que ce soit dans un marais, des dunes, des falaises, des forêts rétro-littorales…)
- Terres et mers d'Europe
Depuis la décision du Conseil d'Etat du 18 juillet 2022, N° 459789 ( https://www.conseil-etat.fr/fr/arianeweb/CE/decision/2022-07-18/459789), les prud'homies sont des organismes “à caractère professionnel, administrées par ces derniers en vue de défendre leurs intérêts et de discipliner l'exercice de leur profession”. Elles ne sont pas des établissements publics. Il s'agit de personnes morales de droit privé.
- Biodiversité (conservation, maintien, création par les pratiques et les usages…)
- Défense du littoral et de la mer (trait de côte, atténuation des submersions, des houles, de la salinisation des sols, biodiversité marine…)
- Autonomie alimentaire (relocalisation de productions, préservation de semences, de végétaux, d'animaux rustiques résistants…)
- Cohésion sociale (maintien de communautés rurales, citoyenneté, démocratie locale, transmission de la connaissance des lieux, des milieux, des risques…)
- Économie (création et maintien d'activités économiques et d'emplois non-délocalisables…)
- Menacé (risque d'enclosure, d'aliénation, de destruction)
années telles que : le manque d’engagement des pêcheurs, l’évolution du rôle du
prud'homme, le faible renouvellement générationnel, l’apparition de nouveaux usages
maritimes et la perte de la transmission des savoirs traditionnels.
Prud’homies de pêche de Palavas
Prud’homies de pêche de Palavas
- Communs des littoraux et des mers (dans la mer ou en bord de mer, que ce soit dans un marais, des dunes, des falaises, des forêts rétro-littorales…)
- Terres et mers d'Europe
Depuis la décision du Conseil d'Etat du 18 juillet 2022, N° 459789 ( https://www.conseil-etat.fr/fr/arianeweb/CE/decision/2022-07-18/459789), les prud'homies sont des organismes “à caractère professionnel, administrées par ces derniers en vue de défendre leurs intérêts et de discipliner l'exercice de leur profession”. Elles ne sont pas des établissements publics. Il s'agit de personnes morales de droit privé.
- Biodiversité (conservation, maintien, création par les pratiques et les usages…)
- Défense du littoral et de la mer (trait de côte, atténuation des submersions, des houles, de la salinisation des sols, biodiversité marine…)
- Autonomie alimentaire (relocalisation de productions, préservation de semences, de végétaux, d'animaux rustiques résistants…)
- Cohésion sociale (maintien de communautés rurales, citoyenneté, démocratie locale, transmission de la connaissance des lieux, des milieux, des risques…)
- Économie (création et maintien d'activités économiques et d'emplois non-délocalisables…)
- Menacé (risque d'enclosure, d'aliénation, de destruction)
années telles que : le manque d’engagement des pêcheurs, l’évolution du rôle du
prud'homme, le faible renouvellement générationnel, l’apparition de nouveaux usages
maritimes et la perte de la transmission des savoirs traditionnels.
Prud’homies de pêche de Port-la-Nouvelle Bages
Prud’homies de pêche de Port-la-Nouvelle Bages
- Communs des littoraux et des mers (dans la mer ou en bord de mer, que ce soit dans un marais, des dunes, des falaises, des forêts rétro-littorales…)
- Terres et mers d'Europe
Depuis la décision du Conseil d'Etat du 18 juillet 2022, N° 459789 ( https://www.conseil-etat.fr/fr/arianeweb/CE/decision/2022-07-18/459789), les prud'homies sont des organismes “à caractère professionnel, administrées par ces derniers en vue de défendre leurs intérêts et de discipliner l'exercice de leur profession”. Elles ne sont pas des établissements publics. Il s'agit de personnes morales de droit privé.
- Biodiversité (conservation, maintien, création par les pratiques et les usages…)
- Défense du littoral et de la mer (trait de côte, atténuation des submersions, des houles, de la salinisation des sols, biodiversité marine…)
- Autonomie alimentaire (relocalisation de productions, préservation de semences, de végétaux, d'animaux rustiques résistants…)
- Cohésion sociale (maintien de communautés rurales, citoyenneté, démocratie locale, transmission de la connaissance des lieux, des milieux, des risques…)
- Économie (création et maintien d'activités économiques et d'emplois non-délocalisables…)
- Menacé (risque d'enclosure, d'aliénation, de destruction)
années telles que : le manque d’engagement des pêcheurs, l’évolution du rôle du
prud'homme, le faible renouvellement générationnel, l’apparition de nouveaux usages
maritimes et la perte de la transmission des savoirs traditionnels.
Prud’homies de pêche de Saint-Cyprien
Prud’homies de pêche de Saint-Cyprien
- Communs des littoraux et des mers (dans la mer ou en bord de mer, que ce soit dans un marais, des dunes, des falaises, des forêts rétro-littorales…)
- Terres et mers d'Europe
Depuis la décision du Conseil d'Etat du 18 juillet 2022, N° 459789 ( https://www.conseil-etat.fr/fr/arianeweb/CE/decision/2022-07-18/459789), les prud'homies sont des organismes “à caractère professionnel, administrées par ces derniers en vue de défendre leurs intérêts et de discipliner l'exercice de leur profession”. Elles ne sont pas des établissements publics. Il s'agit de personnes morales de droit privé.
- Biodiversité (conservation, maintien, création par les pratiques et les usages…)
- Défense du littoral et de la mer (trait de côte, atténuation des submersions, des houles, de la salinisation des sols, biodiversité marine…)
- Autonomie alimentaire (relocalisation de productions, préservation de semences, de végétaux, d'animaux rustiques résistants…)
- Cohésion sociale (maintien de communautés rurales, citoyenneté, démocratie locale, transmission de la connaissance des lieux, des milieux, des risques…)
- Économie (création et maintien d'activités économiques et d'emplois non-délocalisables…)
- Menacé (risque d'enclosure, d'aliénation, de destruction)
années telles que : le manque d’engagement des pêcheurs, l’évolution du rôle du
prud'homme, le faible renouvellement générationnel, l’apparition de nouveaux usages
maritimes et la perte de la transmission des savoirs traditionnels.
Prud’homies de pêche de Saint-Laurent-de-la-Salanque – Le Barcarès
Prud’homies de pêche de Saint-Laurent-de-la-Salanque – Le Barcarès
- Communs des littoraux et des mers (dans la mer ou en bord de mer, que ce soit dans un marais, des dunes, des falaises, des forêts rétro-littorales…)
- Terres et mers d'Europe
Depuis la décision du Conseil d'Etat du 18 juillet 2022, N° 459789 ( https://www.conseil-etat.fr/fr/arianeweb/CE/decision/2022-07-18/459789), les prud'homies sont des organismes “à caractère professionnel, administrées par ces derniers en vue de défendre leurs intérêts et de discipliner l'exercice de leur profession”. Elles ne sont pas des établissements publics. Il s'agit de personnes morales de droit privé.
- Biodiversité (conservation, maintien, création par les pratiques et les usages…)
- Défense du littoral et de la mer (trait de côte, atténuation des submersions, des houles, de la salinisation des sols, biodiversité marine…)
- Autonomie alimentaire (relocalisation de productions, préservation de semences, de végétaux, d'animaux rustiques résistants…)
- Cohésion sociale (maintien de communautés rurales, citoyenneté, démocratie locale, transmission de la connaissance des lieux, des milieux, des risques…)
- Économie (création et maintien d'activités économiques et d'emplois non-délocalisables…)
- Menacé (risque d'enclosure, d'aliénation, de destruction)
années telles que : le manque d’engagement des pêcheurs, l’évolution du rôle du
prud'homme, le faible renouvellement générationnel, l’apparition de nouveaux usages
maritimes et la perte de la transmission des savoirs traditionnels.
Prud’homies de pêche de Saint-Raphaêl
Prud’homies de pêche de Saint-Raphaêl
- Communs des littoraux et des mers (dans la mer ou en bord de mer, que ce soit dans un marais, des dunes, des falaises, des forêts rétro-littorales…)
- Terres et mers d'Europe
Depuis la décision du Conseil d'Etat du 18 juillet 2022, N° 459789 ( https://www.conseil-etat.fr/fr/arianeweb/CE/decision/2022-07-18/459789), les prud'homies sont des organismes “à caractère professionnel, administrées par ces derniers en vue de défendre leurs intérêts et de discipliner l'exercice de leur profession”. Elles ne sont pas des établissements publics. Il s'agit de personnes morales de droit privé.
- Biodiversité (conservation, maintien, création par les pratiques et les usages…)
- Défense du littoral et de la mer (trait de côte, atténuation des submersions, des houles, de la salinisation des sols, biodiversité marine…)
- Autonomie alimentaire (relocalisation de productions, préservation de semences, de végétaux, d'animaux rustiques résistants…)
- Cohésion sociale (maintien de communautés rurales, citoyenneté, démocratie locale, transmission de la connaissance des lieux, des milieux, des risques…)
- Économie (création et maintien d'activités économiques et d'emplois non-délocalisables…)
- Menacé (risque d'enclosure, d'aliénation, de destruction)
années telles que : le manque d’engagement des pêcheurs, l’évolution du rôle du
prud'homme, le faible renouvellement générationnel, l’apparition de nouveaux usages
maritimes et la perte de la transmission des savoirs traditionnels.
Prud’homies de pêche de Saint-Tropez
Prud’homies de pêche de Saint-Tropez
- Communs des littoraux et des mers (dans la mer ou en bord de mer, que ce soit dans un marais, des dunes, des falaises, des forêts rétro-littorales…)
- Terres et mers d'Europe
Depuis la décision du Conseil d'Etat du 18 juillet 2022, N° 459789 ( https://www.conseil-etat.fr/fr/arianeweb/CE/decision/2022-07-18/459789), les prud'homies sont des organismes “à caractère professionnel, administrées par ces derniers en vue de défendre leurs intérêts et de discipliner l'exercice de leur profession”. Elles ne sont pas des établissements publics. Il s'agit de personnes morales de droit privé.
- Biodiversité (conservation, maintien, création par les pratiques et les usages…)
- Défense du littoral et de la mer (trait de côte, atténuation des submersions, des houles, de la salinisation des sols, biodiversité marine…)
- Autonomie alimentaire (relocalisation de productions, préservation de semences, de végétaux, d'animaux rustiques résistants…)
- Cohésion sociale (maintien de communautés rurales, citoyenneté, démocratie locale, transmission de la connaissance des lieux, des milieux, des risques…)
- Économie (création et maintien d'activités économiques et d'emplois non-délocalisables…)
- Menacé (risque d'enclosure, d'aliénation, de destruction)
années telles que : le manque d’engagement des pêcheurs, l’évolution du rôle du
prud'homme, le faible renouvellement générationnel, l’apparition de nouveaux usages
maritimes et la perte de la transmission des savoirs traditionnels.
Prud’homies de pêche de Sanary
Prud’homies de pêche de Sanary
- Communs des littoraux et des mers (dans la mer ou en bord de mer, que ce soit dans un marais, des dunes, des falaises, des forêts rétro-littorales…)
- Terres et mers d'Europe
Depuis la décision du Conseil d'Etat du 18 juillet 2022, N° 459789 ( https://www.conseil-etat.fr/fr/arianeweb/CE/decision/2022-07-18/459789), les prud'homies sont des organismes “à caractère professionnel, administrées par ces derniers en vue de défendre leurs intérêts et de discipliner l'exercice de leur profession”. Elles ne sont pas des établissements publics. Il s'agit de personnes morales de droit privé.
- Biodiversité (conservation, maintien, création par les pratiques et les usages…)
- Défense du littoral et de la mer (trait de côte, atténuation des submersions, des houles, de la salinisation des sols, biodiversité marine…)
- Autonomie alimentaire (relocalisation de productions, préservation de semences, de végétaux, d'animaux rustiques résistants…)
- Cohésion sociale (maintien de communautés rurales, citoyenneté, démocratie locale, transmission de la connaissance des lieux, des milieux, des risques…)
- Économie (création et maintien d'activités économiques et d'emplois non-délocalisables…)
- Menacé (risque d'enclosure, d'aliénation, de destruction)
années telles que : le manque d’engagement des pêcheurs, l’évolution du rôle du
prud'homme, le faible renouvellement générationnel, l’apparition de nouveaux usages
maritimes et la perte de la transmission des savoirs traditionnels.
Prud’homies de pêche de Sète-étang de Thau, Mèze
Prud’homies de pêche de Sète-étang de Thau, Mèze
- Communs des littoraux et des mers (dans la mer ou en bord de mer, que ce soit dans un marais, des dunes, des falaises, des forêts rétro-littorales…)
- Terres et mers d'Europe
Depuis la décision du Conseil d'Etat du 18 juillet 2022, N° 459789 ( https://www.conseil-etat.fr/fr/arianeweb/CE/decision/2022-07-18/459789), les prud'homies sont des organismes “à caractère professionnel, administrées par ces derniers en vue de défendre leurs intérêts et de discipliner l'exercice de leur profession”. Elles ne sont pas des établissements publics. Il s'agit de personnes morales de droit privé.
- Biodiversité (conservation, maintien, création par les pratiques et les usages…)
- Défense du littoral et de la mer (trait de côte, atténuation des submersions, des houles, de la salinisation des sols, biodiversité marine…)
- Autonomie alimentaire (relocalisation de productions, préservation de semences, de végétaux, d'animaux rustiques résistants…)
- Cohésion sociale (maintien de communautés rurales, citoyenneté, démocratie locale, transmission de la connaissance des lieux, des milieux, des risques…)
- Économie (création et maintien d'activités économiques et d'emplois non-délocalisables…)
- Menacé (risque d'enclosure, d'aliénation, de destruction)
Prud’homies de pêche de Sète-Mole
Prud’homies de pêche de Sète-Mole
- Communs des littoraux et des mers (dans la mer ou en bord de mer, que ce soit dans un marais, des dunes, des falaises, des forêts rétro-littorales…)
- Terres et mers d'Europe
Depuis la décision du Conseil d'Etat du 18 juillet 2022, N° 459789 ( https://www.conseil-etat.fr/fr/arianeweb/CE/decision/2022-07-18/459789), les prud'homies sont des organismes “à caractère professionnel, administrées par ces derniers en vue de défendre leurs intérêts et de discipliner l'exercice de leur profession”. Elles ne sont pas des établissements publics. Il s'agit de personnes morales de droit privé.
- Biodiversité (conservation, maintien, création par les pratiques et les usages…)
- Défense du littoral et de la mer (trait de côte, atténuation des submersions, des houles, de la salinisation des sols, biodiversité marine…)
- Autonomie alimentaire (relocalisation de productions, préservation de semences, de végétaux, d'animaux rustiques résistants…)
- Cohésion sociale (maintien de communautés rurales, citoyenneté, démocratie locale, transmission de la connaissance des lieux, des milieux, des risques…)
- Économie (création et maintien d'activités économiques et d'emplois non-délocalisables…)
- Menacé (risque d'enclosure, d'aliénation, de destruction)
Prud’homies de pêche de Toulon
Prud’homies de pêche de Toulon
- Communs des littoraux et des mers (dans la mer ou en bord de mer, que ce soit dans un marais, des dunes, des falaises, des forêts rétro-littorales…)
- Terres et mers d'Europe
Depuis la décision du Conseil d'Etat du 18 juillet 2022, N° 459789 ( https://www.conseil-etat.fr/fr/arianeweb/CE/decision/2022-07-18/459789), les prud'homies sont des organismes “à caractère professionnel, administrées par ces derniers en vue de défendre leurs intérêts et de discipliner l'exercice de leur profession”. Elles ne sont pas des établissements publics. Il s'agit de personnes morales de droit privé.
- Biodiversité (conservation, maintien, création par les pratiques et les usages…)
- Défense du littoral et de la mer (trait de côte, atténuation des submersions, des houles, de la salinisation des sols, biodiversité marine…)
- Autonomie alimentaire (relocalisation de productions, préservation de semences, de végétaux, d'animaux rustiques résistants…)
- Cohésion sociale (maintien de communautés rurales, citoyenneté, démocratie locale, transmission de la connaissance des lieux, des milieux, des risques…)
- Économie (création et maintien d'activités économiques et d'emplois non-délocalisables…)
- Menacé (risque d'enclosure, d'aliénation, de destruction)
années telles que : le manque d’engagement des pêcheurs, l’évolution du rôle du
prud'homme, le faible renouvellement générationnel, l’apparition de nouveaux usages
maritimes et la perte de la transmission des savoirs traditionnels.
Prud’homies de pêche de Valras
Prud’homies de pêche de Valras
- Communs des littoraux et des mers (dans la mer ou en bord de mer, que ce soit dans un marais, des dunes, des falaises, des forêts rétro-littorales…)
- Terres et mers d'Europe
Depuis la décision du Conseil d'Etat du 18 juillet 2022, N° 459789 ( https://www.conseil-etat.fr/fr/arianeweb/CE/decision/2022-07-18/459789), les prud'homies sont des organismes “à caractère professionnel, administrées par ces derniers en vue de défendre leurs intérêts et de discipliner l'exercice de leur profession”. Elles ne sont pas des établissements publics. Il s'agit de personnes morales de droit privé.
- Biodiversité (conservation, maintien, création par les pratiques et les usages…)
- Défense du littoral et de la mer (trait de côte, atténuation des submersions, des houles, de la salinisation des sols, biodiversité marine…)
- Autonomie alimentaire (relocalisation de productions, préservation de semences, de végétaux, d'animaux rustiques résistants…)
- Cohésion sociale (maintien de communautés rurales, citoyenneté, démocratie locale, transmission de la connaissance des lieux, des milieux, des risques…)
- Économie (création et maintien d'activités économiques et d'emplois non-délocalisables…)
- Menacé (risque d'enclosure, d'aliénation, de destruction)
années telles que : le manque d’engagement des pêcheurs, l’évolution du rôle du
prud'homme, le faible renouvellement générationnel, l’apparition de nouveaux usages
maritimes et la perte de la transmission des savoirs traditionnels.
Prud’homies de pêche de Villefranche-sur-Mer
Prud’homies de pêche de Villefranche-sur-Mer
- Communs des littoraux et des mers (dans la mer ou en bord de mer, que ce soit dans un marais, des dunes, des falaises, des forêts rétro-littorales…)
- Terres et mers d'Europe
Depuis la décision du Conseil d'Etat du 18 juillet 2022, N° 459789 ( https://www.conseil-etat.fr/fr/arianeweb/CE/decision/2022-07-18/459789), les prud'homies sont des organismes “à caractère professionnel, administrées par ces derniers en vue de défendre leurs intérêts et de discipliner l'exercice de leur profession”. Elles ne sont pas des établissements publics. Il s'agit de personnes morales de droit privé.
- Biodiversité (conservation, maintien, création par les pratiques et les usages…)
- Défense du littoral et de la mer (trait de côte, atténuation des submersions, des houles, de la salinisation des sols, biodiversité marine…)
- Autonomie alimentaire (relocalisation de productions, préservation de semences, de végétaux, d'animaux rustiques résistants…)
- Cohésion sociale (maintien de communautés rurales, citoyenneté, démocratie locale, transmission de la connaissance des lieux, des milieux, des risques…)
- Économie (création et maintien d'activités économiques et d'emplois non-délocalisables…)
- Menacé (risque d'enclosure, d'aliénation, de destruction)
années telles que : le manque d’engagement des pêcheurs, l’évolution du rôle du
prud'homme, le faible renouvellement générationnel, l’apparition de nouveaux usages
maritimes et la perte de la transmission des savoirs traditionnels.
Prud’homies de pêche du Grau-du-Roi
Prud’homies de pêche du Grau-du-Roi
- Communs des littoraux et des mers (dans la mer ou en bord de mer, que ce soit dans un marais, des dunes, des falaises, des forêts rétro-littorales…)
- Terres et mers d'Europe
Depuis la décision du Conseil d'Etat du 18 juillet 2022, N° 459789 ( https://www.conseil-etat.fr/fr/arianeweb/CE/decision/2022-07-18/459789), les prud'homies sont des organismes “à caractère professionnel, administrées par ces derniers en vue de défendre leurs intérêts et de discipliner l'exercice de leur profession”. Elles ne sont pas des établissements publics. Il s'agit de personnes morales de droit privé.
- Biodiversité (conservation, maintien, création par les pratiques et les usages…)
- Défense du littoral et de la mer (trait de côte, atténuation des submersions, des houles, de la salinisation des sols, biodiversité marine…)
- Autonomie alimentaire (relocalisation de productions, préservation de semences, de végétaux, d'animaux rustiques résistants…)
- Cohésion sociale (maintien de communautés rurales, citoyenneté, démocratie locale, transmission de la connaissance des lieux, des milieux, des risques…)
- Économie (création et maintien d'activités économiques et d'emplois non-délocalisables…)
- Menacé (risque d'enclosure, d'aliénation, de destruction)
années telles que : le manque d’engagement des pêcheurs, l’évolution du rôle du
prud'homme, le faible renouvellement générationnel, l’apparition de nouveaux usages
maritimes et la perte de la transmission des savoirs traditionnels.
Puthier
Puthier
- Section de communes
Puthier
Puthier
Racouze
Racouze
- Section de communes
Racouze
Racouze
Réseau de mares du nord Grande Terre en Guadeloupe
Réseau de mares du nord Grande Terre en Guadeloupe
- Zone humide
- Nappe phréatique
- Réserve de biodiversité
- Communauté d'agriculteurs utilisateurs d'une mare (informel, oral, en disparition)
- Communauté d’Agglomérations du Nord Grande-Terre (CANGT), un nouveau commun en formation ?
- Zones humides essentielles pour la biodiversité et les oiseaux notamment
- Agriculture extensive d’élevage de qualité sur les savanes, aujourd’hui concurrencée par l'urbanisation et aussi par une agriculture intensive de productions maraîchères de contre-saison envoyés par avion en Europe
- Paysages remarquables
- Préservation des sols agricoles et naturels de l’urbanisation
- Tourisme durable
Réseau de mares du Sud de la Martinique
Réseau de mares du Sud de la Martinique
- Zone humide
- Eau douce des mares creusées, irrigation des cultures, pour abreuver les troupeaux.
- Eau saumâtre de la lagune naturelle aménagée, capacités de nourrissage, ressources halieutiques pour l'alimentation (poissons, crustacés) dans les mangroves et l'étang des salines, chasse alimentaire des oiseaux qui utilisent la ressource.
- Communauté d'agriculteurs utilisateurs d'une mare d'eau douce (informel, oral, en disparition)
- Communauté des usagers de l'étang des Salines d'eau saumâtre notamment, pêche (informelle), chasse
- Zones humides essentielles pour la biodiversité et les oiseaux notamment (l’étang des Salines est RAMSAR notamment, voir ici)
- Agriculture extensive d’élevage de qualité sur les savanes, aujourd’hui concurrencée par une agriculture intensive et polluante de melons de contre-saison envoyés par avion en Europe, irriguée par le PISE, qui provoque des atterrissements dans l’étang des Salines
- Paysages remarquables et classés des savanes, de l’étang et du littoral, préservation des sols agricoles et naturels de l’urbanisation, tourisme durable (Voir Réseau Grands Sites de France ici)
Resignel
Resignel
- Section de communes
Resignel
Resignel
Rhemoz
Rhemoz
- Section de communes
Rhemoz
Rhemoz
Rhizobiome
Rhizobiome
- Terres et mers d'Amérique
- Terres et mers du Pacifique
Le Réseau SAGNE a pour particularité de travailler en coopération avec les propriétaires et gestionnaires de sites, qu’ils soient publics ou privés. Il s’attache à intervenir au plus près des acteurs de terrains, et à construire avec eux les solutions de gestion les plus durables.
Permettre l’utilisation d’un site et sa gestion, tout en en préservant les qualités fonctionnelles et écologiques, telle est l’ambition du Réseau SAGNE.
Les maîtres mots de ce programme : COOPÉRER plutôt que CONTRAINDRE, RESPONSABILISER plutôt qu’ASSISTER.
- SCIC
- Biodiversité (conservation, maintien, création par les pratiques et les usages…)
- Conservation des eaux (potables, perméabilité des sols, recharge des nappes, ralentissement des eaux pluviales, lutte contre l'érosion et les inondations…)
- Cadre de vie (fabrique de beaux paysages, patrimoines et cadres de vie de qualité, accueil, tourisme soutenable, récréation, ressourcement et activités économiques liées…)
- Vivant (communauté active d'usagers)
Rhizobiome
Rignat
Rignat
- Section de communes
Rignat
Rignat
Rignieux-Le-Desert
Rignieux-Le-Desert
- Section de communes
Rignieux-Le-Desert
Rignieux-Le-Desert
Rochefort
Rochefort
- Section de communes
Rochefort
Rochefort
- Section de communes
Rochefort
Rochefort
Rochefort
Rochefort
Ronjon
Ronjon
- Section de communes
Ronjon
Ronjon
Roset
Roset
- Section de communes
Roset
Roset
Rosy
Rosy
- Section de communes
Rosy
Rosy
Royeres
Royeres
- Section de communes
Royeres
Royeres
Saint-Andre
Saint-Andre
- Section de communes
Saint-Andre
Saint-Andre
Saint-Didier
Saint-Didier
- Section de communes
Saint-Didier
Saint-Didier
Sales
Sales
- Section de communes
Sales
Sales
Salins de Guérande
Salins de Guérande
- Marais
Sameyriat
Sameyriat
- Section de communes
Sameyriat
Sameyriat
Sanciat
Sanciat
- Section de communes
Sanciat
Sanciat
SCIC Bois Bocage Energie et bocages de l’Orne
SCIC Bois Bocage Energie et bocages de l’Orne
- Communs des plaines et collines (ailleurs…)
- Terres et mers d'Europe
- Bois des haies utilisées pour le chauffage
- Réseau de haie et biodiversité
- Paysage du bocage, cadre de vie
- Conservation des forêts (stockage de carbone, prévention des incendies, qualité de l'air…)
- Sources d'énergies renouvelables (biomasse, petite hydro-électricité, moulins…)
- Biodiversité (conservation, maintien, création par les pratiques et les usages…)
- Conservation des eaux (potables, perméabilité des sols, recharge des nappes, ralentissement des eaux pluviales, lutte contre l'érosion et les inondations…)
- Santé et soins (liés à l'alimentation, aux plantes, santé des habitats et des écosystèmes, bienfaits sur la santé mentale…)
- Cadre de vie (fabrique de beaux paysages, patrimoines et cadres de vie de qualité, accueil, tourisme soutenable, récréation, ressourcement et activités économiques liées…)
- Cohésion sociale (maintien de communautés rurales, citoyenneté, démocratie locale, transmission de la connaissance des lieux, des milieux, des risques…)
- Économie (création et maintien d'activités économiques et d'emplois non-délocalisables…)
- Maintien voire création des réseaux de haies, biodiversité, trames vertes et bleues sur le territoire (Bureau d’étude créé pour identifier les trames vertes et bleues pour les PLUi)
- Maintien d'un système de haies et de fossés qui ralentit la descente des eaux pluviales, recharge les nappes...
- Stockage de carbone, transition énergétique ENR locales et durables (Bureau d’étude créé pour mettre en place des petites chaufferies locales)
- Création d'activités économique écologiquement soutenables et durables en territoire rural, sociabilités, culture de la transition
- Vivant (communauté active d'usagers)
- Bocages, haies et réseaux de haies
- Réseaux d'irrigation, de drainage, de canaux, de fossés
- Energie du bois et végétaux (affouage, bois de chauffe, biomasse, petite méthanisation…)
SCIC ENR Bois & Energie Pays de Rance
SCIC ENR Bois & Energie Pays de Rance
- Communs des plaines et collines (ailleurs…)
- Terres et mers d'Europe
- Bois des haies
- réseau de haies et fossés
- chaufferies
- arbre urbain
- beaux paysages
les salariés
les agriculteurs et propriétaires forestiers
les partenaires solidaires : citoyens et collectivités locales
les professionnels de la filière : entreprises et association, maillons de la filière
- Conservation des forêts (stockage de carbone, prévention des incendies, qualité de l'air…)
- Sources d'énergies renouvelables (biomasse, petite hydro-électricité, moulins…)
- Biodiversité (conservation, maintien, création par les pratiques et les usages…)
- Conservation des eaux (potables, perméabilité des sols, recharge des nappes, ralentissement des eaux pluviales, lutte contre l'érosion et les inondations…)
- Santé et soins (liés à l'alimentation, aux plantes, santé des habitats et des écosystèmes, bienfaits sur la santé mentale…)
- Cadre de vie (fabrique de beaux paysages, patrimoines et cadres de vie de qualité, accueil, tourisme soutenable, récréation, ressourcement et activités économiques liées…)
- Cohésion sociale (maintien de communautés rurales, citoyenneté, démocratie locale, transmission de la connaissance des lieux, des milieux, des risques…)
- Économie (création et maintien d'activités économiques et d'emplois non-délocalisables…)
- Vivant (communauté active d'usagers)
- Prairies de fauche, prairies humides, autres prairies
- Bocages, haies et réseaux de haies
- Réseaux d'irrigation, de drainage, de canaux, de fossés
- Energie du bois et végétaux (affouage, bois de chauffe, biomasse, petite méthanisation…)
- Elevage - mammifères (vaches, chèvres, moutons…)
SCIC Mayenne Bois Energie et bocages de Mayenne
SCIC Mayenne Bois Energie et bocages de Mayenne
- Communs des plaines et collines (ailleurs…)
- Terres et mers d'Europe
- Bois issu de l'entretien du bocage
- outil de transition énergétique
- biodiversité recréée par la plantation de haies
- paysages du bocage
- 5 Collèges
- une personne une voix
- près de 200 sociétaires
- Conservation des forêts (stockage de carbone, prévention des incendies, qualité de l'air…)
- Sources d'énergies renouvelables (biomasse, petite hydro-électricité, moulins…)
- Biodiversité (conservation, maintien, création par les pratiques et les usages…)
- Conservation des eaux (potables, perméabilité des sols, recharge des nappes, ralentissement des eaux pluviales, lutte contre l'érosion et les inondations…)
- Cadre de vie (fabrique de beaux paysages, patrimoines et cadres de vie de qualité, accueil, tourisme soutenable, récréation, ressourcement et activités économiques liées…)
- Cohésion sociale (maintien de communautés rurales, citoyenneté, démocratie locale, transmission de la connaissance des lieux, des milieux, des risques…)
- Économie (création et maintien d'activités économiques et d'emplois non-délocalisables…)
- Le linéaire de haies et fossés associés maintenu, entretenu et recréé constitue des corridors biologiques (trames vertes et bleues) et ralentit la descente des eaux pluviales
- les haies stockent du carbone
- ressource bois de chauffe dans le cadre de la transition énergétique,
- filière et emplois locaux
- Maitien du beau paysage de bocage de la Mayenne
- Vivant (communauté active d'usagers)
- Prairies de fauche, prairies humides, autres prairies
- Bocages, haies et réseaux de haies
- Réseaux d'irrigation, de drainage, de canaux, de fossés
- Energie du bois et végétaux (affouage, bois de chauffe, biomasse, petite méthanisation…)
- Elevage - mammifères (vaches, chèvres, moutons…)
Section de commune de Mourex
Section de commune de Mourex
- Communs de montagnes et de piémonts (montagnes et reliefs au pied des montagnes…)
- Terres et mers d'Europe
- Conservation des forêts (stockage de carbone, prévention des incendies, qualité de l'air…)
- Sources d'énergies renouvelables (biomasse, petite hydro-électricité, moulins…)
- Biodiversité (conservation, maintien, création par les pratiques et les usages…)
- Santé et soins (liés à l'alimentation, aux plantes, santé des habitats et des écosystèmes, bienfaits sur la santé mentale…)
- Cadre de vie (fabrique de beaux paysages, patrimoines et cadres de vie de qualité, accueil, tourisme soutenable, récréation, ressourcement et activités économiques liées…)
- Cohésion sociale (maintien de communautés rurales, citoyenneté, démocratie locale, transmission de la connaissance des lieux, des milieux, des risques…)
- Vivant (communauté active d'usagers)
- Menacé (risque d'enclosure, d'aliénation, de destruction)
- Estives, alpages, pâturages d'été, parcours de transhumances
- Prairies de fauche, prairies humides, autres prairies
- Forêts, boisements, bosquets
- Energie du bois et végétaux (affouage, bois de chauffe, biomasse, petite méthanisation…)
- Elevage - mammifères (vaches, chèvres, moutons…)
- Matériaux (bois d’oeuvre, pour la construction, bois, paille, terre, torchis, pierre, galets…)
- Ressource “sauvage” (non cultivée) (cueillette, grapillage, glanage…)
- Ressource “sauvage” (non cultivée) (chasse, capture…)
Section de commune Mas Vendran
Section de commune Mas Vendran
- Communs de montagnes et de piémonts (montagnes et reliefs au pied des montagnes…)
- Terres et mers d'Europe
- Informel, basé sur des règles d'usages orales
- Section de communes
- Privé (personne physique / association / fondation / entreprise…)
- Réglementé (bail, convention, traité, us & coutumes…)
- Économie (création et maintien d'activités économiques et d'emplois non-délocalisables…)
- Menacé (risque d'enclosure, d'aliénation, de destruction)
- Prairies de fauche, prairies humides, autres prairies
- Elevage - mammifères (vaches, chèvres, moutons…)
Section de communes de Mourex
Section de communes de Mourex
- Section de communes
Section de communes de Mourex
Section de communes de Mourex
Soblay
Soblay
- Section de communes
Soblay
Soblay
Société civile des terres du Larzac
Société civile des terres du Larzac
- Terres et mers d'Europe
En 1971, seulement 3 500 hectares parmi les 14 000 hectares de la zone d’extension appartiennent aux paysans, les terrains communaux couvrent 2 500 hectares, la SAFER (2) en possède 800 qu’elle loue à l’année et 7 000 hectares appartiennent à des propriétaires non exploitants, parfois extérieurs à la région, dont certains de fraîche date (3).
Ces 7 000 hectares étaient pour les deux tiers loués à des paysans, le reste étant quasiment à l’abandon. Au total, 460 propriétaires dont 400 non exploitants étaient touchés par le projet d’extension. D’origines très diverses, ils possédaient de quelques ares à un millier d’hectares (l’hectare valant en moyenne 762, 25 € ).
Une carte synthétisant cet énorme travail a ensuite permis de localiser les zones stratégiques et les zones « à risques », et de déterminer des priorités d’achat. Il s’agissait d’acquérir les terres indispensables à l’armée : d’abord des parcelles isolées, et quelle que soit leur valeur agricole, afin que les 5 300 ha achetés par l’armée ne constituent pas un ensemble d’un seul tenant, facilement utilisable ;puis des exploitations agricoles entières (sept), afin que leurs activités y soient maintenues
Les GFA se sont avérés être d’excellents instruments de lutte, « démembrant » les terres acquises par l’Etat, limitant les ventes amiables préalables à l’expropriation, investissant sur ce territoire des « capitaux » venus de la France entière.
En 1981, la lutte des paysans du Larzac pour sauver leurs terres est victorieuse : les GFA ont aidé à gagner le pari de cette maîtrise foncière très particulière. Depuis cette date c’est un tout autre type de « maîtrise foncière » qui occupe les GFA.
Le projet d’extension n’a pas empêché les GFA, propriétaires « comme les autres », de louer leurs terres à des fermiers en établissant des baux ruraux à long terme et ce depuis 1973. Ainsi a commencé, de fait, une gestion collective de la terre. Les GFA ont contractualisé avec une trentaire de fermiers sur le plateau du Larzac. Chacun de ces fermiers paie un fermage dont le montant est fixé chaque année par barème préfectoral. Lorsque le bail prend fin, le fermier « rend » les terres et/ou les bâtiments d’exploitation et/ou la maison d’habitation aux GFA.
Le GFA mutuel reste l’outil de gestion collective du foncier :
- Pour que la terre ne soit plus un bien de spéculation.
- Pour installer des paysans plutôt qu’agrandir des exploitations.
- Pour permettre une gestion cohérente et durable du foncier tant au niveau environnemental qu’au niveau humain.
- pour discuter, concilier et partager les différents usages de la terre.
Pour simplifier la gestion administrative et éviter la multiplication des frais (de notaire, d’enregistrement aux impôts et au greffe du tribunal, annonces officielles,…) les assemblées générales de janvier 2014 ont approuvé la fusion des 4 sociétés, la première société absorbant les trois autres. L’assemblée a également décidé de renommer cette nouvelle société et lui a donné le nom de : société civile Gestion Foncière Agricole du Larzac (SC GFA Larzac). Cette fusion n’a entrainé aucun changement tant pour les apporteurs de parts (nombre et valeur identique) que pour les fermiers (continuité des baux ruraux).
Ce sont 9 gérants qui se réunissent régulièrement et doivent traiter de nombreux problèmes : attribution de parcelles, remplacement de fermiers, estimation de la valeur des terres et des bâtiments, fixation du montant du fermage, et cela en tenant compte des problèmes humains et des relations personnelles, qui peuvent être conflictuelles sur le Larzac comme ailleurs.
- Autre copropriété
- Des personnes privées cogèrent un bien public
- Sources d'énergies renouvelables (biomasse, petite hydro-électricité, moulins…)
- Biodiversité (conservation, maintien, création par les pratiques et les usages…)
- Autonomie alimentaire (relocalisation de productions, préservation de semences, de végétaux, d'animaux rustiques résistants…)
- Santé et soins (liés à l'alimentation, aux plantes, santé des habitats et des écosystèmes, bienfaits sur la santé mentale…)
- Cadre de vie (fabrique de beaux paysages, patrimoines et cadres de vie de qualité, accueil, tourisme soutenable, récréation, ressourcement et activités économiques liées…)
- Cohésion sociale (maintien de communautés rurales, citoyenneté, démocratie locale, transmission de la connaissance des lieux, des milieux, des risques…)
- Vivant (communauté active d'usagers)
Société civile des terres du Larzac
Société civile des terres du Larzac
Société civile des terres du Larzac
- Communs de montagnes et de piémonts (montagnes et reliefs au pied des montagnes…)
- Terres et mers d'Europe
Par la formule originale du bail emphytéotique entre l’Etat et la Société Civile des Terres du Larzac, la sécurité de l’utilisation de l’espace à des fins agricoles et pacifiques est assurée pour une durée de 99 ans. Grâce à ce transfert de responsabilité, la Société Civile des Terres du Larzac assume toutes les charges et les privilèges de propriétaire, à l’exception du droit de vendre.
les montants des baux ruraux et élabore les règles de gestion entre les différents usagers du foncier (agriculture, chasse, tourisme, etc.).
Par son implantation géographique sur 12 communes, elle est un des outils de l’aménagement du territoire avec les mairies, le Parc régional des grands causses et les associations.
- Biodiversité (conservation, maintien, création par les pratiques et les usages…)
- Cohésion sociale (maintien de communautés rurales, citoyenneté, démocratie locale, transmission de la connaissance des lieux, des milieux, des risques…)
- Économie (création et maintien d'activités économiques et d'emplois non-délocalisables…)
- Vivant (communauté active d'usagers)
- Estives, alpages, pâturages d'été, parcours de transhumances
- Prairies de fauche, prairies humides, autres prairies
- Energie solaire (toiture au non, collective…)
Sorbier
Sorbier
- Section de communes
Sorbier
Sorbier
Sorpiat
Sorpiat
- Section de communes
Sorpiat
Sorpiat
Sortie Culturelle
Sortie Culturelle
SOS Durance Vivante
SOS Durance Vivante
- Communs des eaux douces (dans et autour des fleuves, rivières, lacs, mares, marécages, zones humides…)
- Terres et mers d'Europe
Pourtant, la contradiction est croissante entre le respect du fonctionnement naturel des écosystèmes aquatiques et le développement des activités humaines, qui nécessitent d’importants prélèvements d'eau ne faisant qu’augmenter en raison du changement climatique et des modes de vie. La rivière, le vivant, les humains et les non-humains, ne peuvent pas s’adapter à n’importe quelles conditions. Le lit majeur de Durance n’est pas aménageable à souhait, il doit être réservé, en priorité, à l’expansion des crues, à la rivière, à son équilibre biologique.
Fortement anthropisée, sollicitée, déviée, canalisée, Durance et ses affluents, connaissent des perturbations graves. Le dérèglement climatique, les modes de production agricoles, l'activité nucléaire, l'hydroélectricité, les barrages, le tourisme, les déchets, dont les micro plastiques, les pollutions organiques et chimiques diverses, rendent la distribution en eau d'une population, d'activités importantes et la préservation des milieux, difficiles et coûteux.
Le transport des sédiments et d’autres fonctions écologiques essentielles, la santé de la ripisylve ne sont plus assurées. Les sécheresses comme les inondations doivent faire évoluer l'ensemble des pratiques et les méthodes de travail associant la société civile (citoyens, usagers et associations) et les élus locaux.
En France et en Europe, des déclarations ou démarches sont en cours : Parlement de Loire, Appel du Rhône, déclaration des droits du fleuve Tavignanu, de la Tet, projet pour Garonne, reconnaissance d’une personnalité juridique à la lagune Mar Menor par le parlement espagnol....
SOS Durance Vivante souhaite à son tour proclamer une Déclaration des droits de la rivière Durance. Cette déclaration est en cours d’élaboration et sera un outil pour mobiliser citoyens et élus locaux autour de sa protection grâce aux droits de la nature. Cette déclaration ambitionne à terme d'être intégrée dans le cadre juridique du droit de l'environnement, afin de mieux préserver l'intégrité de la rivière Durance, intégrité qui n'est pas garantie par les dispositifs actuels. Notre souhait final est que cette proposition fasse l'objet d'un travail législatif et parlementaire afin de reconnaître les droits de la rivière Durance et d’autres écosystèmes dans une loi.
- Formel, doté d'un statut juridique
- Autre
- Réglementé (bail, convention, traité, us & coutumes…)
- Sources d'énergies renouvelables (biomasse, petite hydro-électricité, moulins…)
- Biodiversité (conservation, maintien, création par les pratiques et les usages…)
- Conservation des eaux (potables, perméabilité des sols, recharge des nappes, ralentissement des eaux pluviales, lutte contre l'érosion et les inondations…)
- Cadre de vie (fabrique de beaux paysages, patrimoines et cadres de vie de qualité, accueil, tourisme soutenable, récréation, ressourcement et activités économiques liées…)
- Cohésion sociale (maintien de communautés rurales, citoyenneté, démocratie locale, transmission de la connaissance des lieux, des milieux, des risques…)
- Économie (création et maintien d'activités économiques et d'emplois non-délocalisables…)
- Émergent (mobilisation locale en cours)
- Sources, nappes d'eaux souterraines, phréatiques, alluviales
- Energie hydraulique (moulins, petite hydroélectricité…)
Sothonod
Sothonod
- Section de communes
Sothonod
Sothonod
Sutrieu
Sutrieu
- Section de communes
Sutrieu
Sutrieu
Sylans
Sylans
- Section de communes
Sylans
Sylans
Syndicat des SIMPLES
Syndicat des SIMPLES
- Communs de montagnes et de piémonts (montagnes et reliefs au pied des montagnes…)
- Communs des plaines et collines (ailleurs…)
- Terres et mers d'Europe
L'ensemble du territoire est potentiellement concerné, cependant le prélèvement de ces plantes nécessite une gestion collective afin d'en préserver la ressource.
Le Syndicat des SIMPLES (Syndicat Inter-Massifs pour la Production et L’Économie des Simples) a été créé en 1982 sous l’impulsion d’un groupe de productrices et producteurs installés dans des secteurs de montagnes dédaignés. Il regroupe aujourd’hui plus de 180 productrices et producteurs utilisant la mention SIMPLES et près de 400 avec d'autres labels, réparti-e-s dans les différences massifs montagneux français mais aussi en plaine, dans des îlots préservés.
- Biodiversité (conservation, maintien, création par les pratiques et les usages…)
- Autonomie alimentaire (relocalisation de productions, préservation de semences, de végétaux, d'animaux rustiques résistants…)
- Santé et soins (liés à l'alimentation, aux plantes, santé des habitats et des écosystèmes, bienfaits sur la santé mentale…)
- Cadre de vie (fabrique de beaux paysages, patrimoines et cadres de vie de qualité, accueil, tourisme soutenable, récréation, ressourcement et activités économiques liées…)
- Cohésion sociale (maintien de communautés rurales, citoyenneté, démocratie locale, transmission de la connaissance des lieux, des milieux, des risques…)
- Économie (création et maintien d'activités économiques et d'emplois non-délocalisables…)
Entretien des milieux sauvages, préservation des paysages, conservation d'espèces végétales, sentinelles de la nature et observateur-trice-s direct-e-s de son évolution ...
Services rendus par le réseau :
Partage de pratiques, de contacts, retours d'expériences, de conseil
Diffusion des Savoirs et Savoir faire (formations sur le thème de la botanique, la réglementation, la cosmétique, la distillation...).
- Vivant (communauté active d'usagers)
Notre pratique de la cueillette nous confronte aussi directement aux effets du changement climatique, à l'augmentation de l'artificialisation des terres, à la raréfaction de certaines espèces surcueillies par l'industrie florissante des plantes médicinales, d'où le rôle militant actif du Syndicat, en tant que lanceur d'alertes et force de proposition sur les plans règlementaire, pédagogique, législatif...
- Estives, alpages, pâturages d'été, parcours de transhumances
- Prairies de fauche, prairies humides, autres prairies
- Bocages, haies et réseaux de haies
- Forêts, boisements, bosquets
- Vergers, réseaux d'arbres fruitiers, forêts comestibles
- Jardins et horticulture
- Grandes cultures, cultures paysannes
- Autres productions pour l’alimentation humaine (fromages, vins, farines, huiles…)
- Ressource “sauvage” (non cultivée) (cueillette, grapillage, glanage…)
- Petites cultures (jardinage, maraîchage, petits fruits, arômatiques, cultures médicinales, simples, santé, fleurs, ornement, parfums…)
Tard
Tard
- Section de communes
Tard
Tard
Territoires indivis de la Vallée du Barège
Territoires indivis de la Vallée du Barège
- Commission syndicale
les socio-professionnels de l'accueil des touristes qui viennent pour la ressource paysagère (qui sont parfois aussi éleveurs), communauté en cours de constitution
Territoires indivis de la vallée du Barège
Territoires indivis de la vallée du Barège
- Communs de montagnes et de piémonts (montagnes et reliefs au pied des montagnes…)
- Terres et mers d'Europe
- une transhumance d'été interne à la vallée
- une transhumance transfrontalière franco-espagnole régie par les Lies et Passeries liant les 7 communautés agropastorales du massif du Mont-Perdu, les 5 espagnoles de la Mancomunidad del valle de Broto, et les 2 françaises des vallées du Barège et de Saux - La Gela,
- une transhumance extérieures venant du quart sud-ouest de la France, avec droits d'entrée
- propriété privée du foncier (les foyers, les yers), mais droits collectifs d'usage de l'eau (droits à l'eau concernant telle rigole, corvées d'eau, système de drainage)
- publique (les forêts, les estives) parfois formalisées en propriétés collectives (les territoires indivis propriétés collectives de 15 communes, formalisé dans le droit)
- la particularité du droit transfrontalier franco-espagnol de la transhumance et des lies et passeries
- Conservation des forêts (stockage de carbone, prévention des incendies, qualité de l'air…)
- Sources d'énergies renouvelables (biomasse, petite hydro-électricité, moulins…)
- Biodiversité (conservation, maintien, création par les pratiques et les usages…)
- Conservation des eaux (potables, perméabilité des sols, recharge des nappes, ralentissement des eaux pluviales, lutte contre l'érosion et les inondations…)
- Autonomie alimentaire (relocalisation de productions, préservation de semences, de végétaux, d'animaux rustiques résistants…)
- Santé et soins (liés à l'alimentation, aux plantes, santé des habitats et des écosystèmes, bienfaits sur la santé mentale…)
- Cadre de vie (fabrique de beaux paysages, patrimoines et cadres de vie de qualité, accueil, tourisme soutenable, récréation, ressourcement et activités économiques liées…)
- Cohésion sociale (maintien de communautés rurales, citoyenneté, démocratie locale, transmission de la connaissance des lieux, des milieux, des risques…)
- Économie (création et maintien d'activités économiques et d'emplois non-délocalisables…)
- Préservation, voire création de biodiversité (voir par exemple ZNIEFF des cirques d’Estaubé, Gavarnie et Troumouse)
- Gestion économe de l’eau, contributions à la préservation des sols et contre les inondations
- Elevage sobre, peu émetteur de GES, peu polluant, productions alimentaires de qualité (voir par exemple AOC Mouton Barèges Gavarnie)
- Entretien des sentiers, des estives et paysages ouverts, tourisme sobre et durable
- Contributions à la bonne gestion de la forêt, stockage de carbone
- Fabrique et préservation de paysages culturels vivants inscrit sur la liste de l’UNESCO
- Préservation des communautés agropastorales transhumantes, activité d'accueil touristique liée aux paysages, transmission d'une culture du risque...
- Vivant (communauté active d'usagers)
- Menacé (risque d'enclosure, d'aliénation, de destruction)
- Détruit ou disparu (privatisé, enclos, aliéné, détourné…)
- le tourisme de masse d'hiver (ski) et d'été (montagne, pyrénéisme) a contribué à la désaffection du métier d'éleveur et à la déprise, à la fermeture de ces paysages. Une prise conscience se fait actuellementavec des accompagnements envisagés pour la transmission des Maisons lors des départs à la retraite et l'installation de nouveaux éleveurs, y compris extérieurs
- l'urbanisation (résidences secondaire)
- l'exode rural très important et les transformations de la pratique agropastorale par intensification ("Il nous manque les bras pour le faire" source orale)
- la quasi disparition de la pratique de l'irrigation des yers pour faire le foin, le regain, le petit regain, du fait de la déprise, avec des implications fortes sur la cohésion des communautés usagères
- le réchauffement climatique et la fonte très importante des glaciers pose des questions sur le futur de la ressource en eau d'été, de l'enneigement avec des évolutions probables de l'équilibre économique de ce territoire essentiellement basé sur l'élevage et le tourisme
- la pratique de l'affouage et du bois d'oeuvre dans les forêts communales a fortement diminué du fait de la mécanisation du débardage - disparition du débardage à cheval et des "gardes coupes" - pourrait réapparaitre, pentes très fortes, impossibilité de mécaniser par endroits
- concurrence ancienne sur l'usage de l'eau avec les barrages et l'hydroélectricité ("Le mois d’octobre,l’EDF coupe l’eau, enlève l’eau, elle «rétrécit» l’eau, alors on peut plus irriguer" Témoignage tiré de l'ouvrage "Gavarnie sans le Cirque")
- Estives, alpages, pâturages d'été, parcours de transhumances
- Prairies de fauche, prairies humides, autres prairies
- Bocages, haies et réseaux de haies
- Réseaux d'irrigation, de drainage, de canaux, de fossés
- Sources, nappes d'eaux souterraines, phréatiques, alluviales
- Forêts, boisements, bosquets
- Energie du bois et végétaux (affouage, bois de chauffe, biomasse, petite méthanisation…)
- Energie hydraulique (moulins, petite hydroélectricité…)
- Elevage - mammifères (vaches, chèvres, moutons…)
- Autres productions pour l’alimentation humaine (fromages, vins, farines, huiles…)
- Matériaux (bois d’oeuvre, pour la construction, bois, paille, terre, torchis, pierre, galets…)
- Diversité biologique (semences, semences paysannes, variétés, cultivars, animaux rustiques…)
Thezillieu Et Ponthieu
Thezillieu Et Ponthieu
- Section de communes
Thezillieu Et Ponthieu
Thezillieu Et Ponthieu
Thioles
Thioles
- Section de communes
Thioles
Thioles
Thol
Thol
- Section de communes
Thol
Thol
Thoys
Thoys
- Section de communes
Thoys
Thoys
Turgon
Turgon
- Section de communes
Turgon
Turgon
Tutigney
Tutigney
- Section de communes
Tutigney
Tutigney
Val d'Allier
Val d'Allier
- Communs des eaux douces (dans et autour des fleuves, rivières, lacs, mares, marécages, zones humides…)
- Terres et mers d'Europe
1. d'acquisitions et de la mise en place d'une bourse d'échanges fonciers sur des zones ciblées, pour apporter des solutions aux propriétaires et exploitants lésés par l'érosion et garantir plus de possibilités de divagation à la rivière
2. d'une animation et conseil technique en faveur de la dynamique fluviale
3. de restauration des espace de mobilité et zones d'érosion potentielle.
- Biodiversité (conservation, maintien, création par les pratiques et les usages…)
- Conservation des eaux (potables, perméabilité des sols, recharge des nappes, ralentissement des eaux pluviales, lutte contre l'érosion et les inondations…)
- Santé et soins (liés à l'alimentation, aux plantes, santé des habitats et des écosystèmes, bienfaits sur la santé mentale…)
- Cadre de vie (fabrique de beaux paysages, patrimoines et cadres de vie de qualité, accueil, tourisme soutenable, récréation, ressourcement et activités économiques liées…)
Préservation de la biodiversité et des paysages par préservation des mouvements de l'Allier (Voir Natura 2000 en Val d'Allier)
Prévention des inondations par maintien des zones de mobilité et d'expansion des crues de l'Allier
- Émergent (mobilisation locale en cours)
- Vivant (communauté active d'usagers)
- Menacé (risque d'enclosure, d'aliénation, de destruction)
- Marais doux, marécages, zones humides
- Sources, nappes d'eaux souterraines, phréatiques, alluviales
- Elevage - mammifères (vaches, chèvres, moutons…)
- Ressource “sauvage” (non cultivée) (pêche, pêche à pied…)
Valuisant
Valuisant
- Section de communes
Valuisant
Valuisant
Vaux-Saint-Sulpice
Vaux-Saint-Sulpice
- Section de communes
Vaux-Saint-Sulpice
Vaux-Saint-Sulpice
Vers Le Bois
Vers Le Bois
- Section de communes
Vers Le Bois
Vers Le Bois
Vesenex-Crassy
Vesenex-Crassy
- Section de communes
Vesenex-Crassy
Vesenex-Crassy
Veyrin
Veyrin
- Section de communes
Veyrin
Veyrin
Villeneuve
Villeneuve
- Section de communes
Villeneuve
Villeneuve
Wateringues
Wateringues
- Communs des littoraux et des mers (dans la mer ou en bord de mer, que ce soit dans un marais, des dunes, des falaises, des forêts rétro-littorales…)
- Terres et mers d'Europe
- Formel, doté d'un statut juridique
- Association syndicale
- Public et privé
- Réglementé (bail, convention, traité, us & coutumes…)
- Biodiversité (conservation, maintien, création par les pratiques et les usages…)
- Défense du littoral et de la mer (trait de côte, atténuation des submersions, des houles, de la salinisation des sols, biodiversité marine…)
- Vivant (communauté active d'usagers)
- Réseaux d'irrigation, de drainage, de canaux, de fossés
Yeswiki : le site officiel
Yeswiki : le site officiel
Yeswikiday
Yeswikiday
Youpi ici c'est le titre
Youpi ici c'est le titre
ZAD de Notre Dame des Landes
ZAD de Notre Dame des Landes
- Communs des plaines et collines (ailleurs…)
- Terres et mers d'Europe
Zone de Droits d’Usages Collectifs (ZDUC) de la communauté Kali’na d’Awala-Yalimapo
Zone de Droits d’Usages Collectifs (ZDUC) de la communauté Kali’na d’Awala-Yalimapo
- Communs des eaux douces (dans et autour des fleuves, rivières, lacs, mares, marécages, zones humides…)
- Communs des littoraux et des mers (dans la mer ou en bord de mer, que ce soit dans un marais, des dunes, des falaises, des forêts rétro-littorales…)
- Terres et mers d'Amérique
- La commune et la ZDUC se superposent et comprennent les habitations des 3 villages. Un Conseil tripartite statue sur les thèmes de la commune et la ZDUC. Les demandes de parcelles se font au Chef Coutumier qui répond et transmet à la mairie, responsable de l’administratif. Aussi, les habitants ne connaissent pas particulièrement la ZDUC, maitrisée seulement par la mairie et les leaders politiques.
- Conservation des forêts (stockage de carbone, prévention des incendies, qualité de l'air…)
- Sources d'énergies renouvelables (biomasse, petite hydro-électricité, moulins…)
- Biodiversité (conservation, maintien, création par les pratiques et les usages…)
- Conservation des eaux (potables, perméabilité des sols, recharge des nappes, ralentissement des eaux pluviales, lutte contre l'érosion et les inondations…)
- Défense du littoral et de la mer (trait de côte, atténuation des submersions, des houles, de la salinisation des sols, biodiversité marine…)
- Autonomie alimentaire (relocalisation de productions, préservation de semences, de végétaux, d'animaux rustiques résistants…)
- Santé et soins (liés à l'alimentation, aux plantes, santé des habitats et des écosystèmes, bienfaits sur la santé mentale…)
- Cadre de vie (fabrique de beaux paysages, patrimoines et cadres de vie de qualité, accueil, tourisme soutenable, récréation, ressourcement et activités économiques liées…)
- Cohésion sociale (maintien de communautés rurales, citoyenneté, démocratie locale, transmission de la connaissance des lieux, des milieux, des risques…)
- Préservation de la forêt, de la biodiversité (hot spot mondial)
- Frein important à l’artificialisation des sols (constructions, aménagements, mines, orpaillage…)
- Préservation et perpétuation de modes de vie ancestraux et respectueux des ressources naturelles
- Stockage de carbone et frein important à la déforestation, à l’exploitation agro-industrielle des sols (forêts stratégiques au niveau mondial)
- Vivant (communauté active d'usagers)
- Menacé (risque d'enclosure, d'aliénation, de destruction)
- Lagunes, deltas, mangroves
- Forêts, boisements, bosquets
- Energie du bois et végétaux (affouage, bois de chauffe, biomasse, petite méthanisation…)
- Matériaux (bois d’oeuvre, pour la construction, bois, paille, terre, torchis, pierre, galets…)
- Ressource “sauvage” (non cultivée) (cueillette, grapillage, glanage…)
- Ressource “sauvage” (non cultivée) (chasse, capture…)
- Ressource “sauvage” (non cultivée) (pêche, pêche à pied…)
- Petites cultures (jardinage, maraîchage, petits fruits, arômatiques, cultures médicinales, simples, santé, fleurs, ornement, parfums…)
Zone de Droits d’Usages Collectifs (ZDUC) des Kali’nas d’Awala-Yalimapo
Zone de Droits d’Usages Collectifs (ZDUC) des Kali’nas d’Awala-Yalimapo
- Autre type de commun naturel